Tandis que la nullitude s’épanche , en foules denses et moutonnières de « grands reporters » venus « couvrir » le non évènement absolu, au nom d’une informe-ation mondialisée dont l’absence de contenu est en proportion des budgets consacrés par les « rédaction » au défraiement de ces armées de pique assiette déferlant sur washington pour y rendre compte de tout ce que chacun peut voir et entendre en sa radio vision domiciliaire, et qui ne signifie rien et ne constitue aucune nouveauté ou même simple discontinuité dans l’écume médiatisée des jours annoncés et conformes à leur platitude prévisible ;
pendant ce temps, donc , des évènements se produisent, un peu partout, et certains en ces périodes de mages itinérants fréquentant les étables, se retrouvent dans de modestes échoppes à culture et débattent du monde autour d’eux.
Alors ,
conformément aux écritures, il est revenu au 450ème jour
( ou à peu près, ces écritures là sont assez imprécises) ,
et il a retrouvé quelques uns de ses fidèles disciples ,
et la chair s’est faite verbe ,
et voici ce dont il fut question :
dans la première partie :
intro : De la généalogie du livre, de son contexte, et du rapport avec les blogs et les "NRV".
à 12'18" : De la liberté d'expression, de la censure et des médias.
à 23'00" : de la difficulté d'être un rebelle ( ou même un "maverick") au sein de la médiacratie.
dans la deuxième partie
à 4'20" : De l'intérêt de tous répéter la même chose ou presque.
Du conformisme marchand.
Du salut par les livres...
à 13'28" : Du journalisme et de l'investigation, du journalisme d'investigation.
à 21'29" : Des blogs, de leurs visiteurs, de leurs commentateurs, de leur audience, des cons,
de ce que ça apporte, de ce que ça rapporte.
dans la troisième partie ( fin sur la 4ème)
à 1’48" : Des effets pervers (et involontaires) de Bourdieu :
de la compulsion fédérative,
et de sa cure par les livres .
à 9'07" : De la "blogosphère", de son intérêt, de son rôle, de ses effets .
à 15'43" : De l'investigation (encore) , du goût "majoritaire" (toujours).
à 24’54’" : De ce qui est ou n'est pas caché,
de ce qui reste à dévoiler,
et des livres
encore et toujours ...
Urbain
