la fin et le début s’enlacent amplement
éclosion intégrale de luxure
sous l’influence indécente des cendres
subtile autonomie d’une caresse
qui ne cesse de remonter
les ruissellements intarissables
comme autant de pétales de pavots
à la transparence déchiquetée
par le souffle facétieux
ébriété inversée du cycle
aux courroies imputrescibles
de tous les unfinis