Sarkozy et moi ?
Rien. (et pourtant, quand on tape "Sarkozy Châteauroux" dans google images, on tombe sur --->)
C'est une relation fort lointaine, puisqu'en ce mardi 27 janvier, je ne me suis pas approchée du centre-ville. Car là (^^), faut dire que je n'ai rien à y faire.
Je n'y vis pas.
Je n'y travaille.
Je me contente de suburbs.
Tiens, j'ai même fait mes courses à Aux-champs, pour rester bien loin.
Parce qu'avec le passage de notre bien mal-aimé président, ce sont les "privilégiés" du centre-ville qui ont enregistré les plus lourdes contraintes. Pas moyen de rentrer chez soi à midi en voiture pour les résidents qui circulaient étourdiment sans leurs papiers d'identité, par exemple. En exil pour la journée, les inconséquents ! i'z'avaient qu'à prendre leur vélo...
Pour ceux qui étaient dans la place, il y a eu la manif', venue se briser telle la dernière tempête landaise, sur le mur implanté par les CRS, juste après Jean-Gi (puisque, pour ceux qui ne le sauraient pas, l'incursion présidentielle avaient pour terme la bulle de Belle-Isle).
Belle aubaine pour les lycéens "chics", qui en majorité ont des idées de gauche, soi dit en passant : on leur a même distribué des affiches.
Signe des temps procéduraux, voici le slogan teflon qui résiste à l'attaque en justice la plus agressive :
(en tout petit minuscule) "On ne dit pas
(en très gros) CASSE-TOI PAUV'CON
(en tout petit petit rikiki) car ce n'est pas poli."
Leçon de politesse incluse, pour l'édification des djeunz.
Lien vers la vidéo de France 3
Et pendant ce temps-là, sur mon blogue, y'en a des qui cherchent :