La décision de construire un deuxième réacteur nucléaire EPR en France, voire un troisième, renforce la prédominance de l’atome dans l’Hexagone, un choix contesté par les écologistes et qui suscite des interrogations chez certains experts dans un pays déjà à 80% nucléaire.Le président de la République Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi soir la construction d’un deuxième réacteur à eau pressurisée EPR à Penly (Seine-Maritime), à laquelle GDF Suez sera associé pour une part minoritaire aux côtés d’EDF. L’Elysée a aussi laissé entendre que GDF Suez pourrait être chargé de la construction d’un troisième EPR en France.
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