Depuis fin novembre entre 5 et 6 semaines de carrière gelée, la faute à personne si ce n’est dame météo, mais ça fait long. Comme un malheur n’arrive jamais seul les chemins « de par chez nous » sont gelés en général autant que la carrière, vu que la plupart sont ombragés. Donc pour nous qui dit 0 degré ou moins ne serait ce que la nuit, dit pas de cheval dans la journée qui suit 
Nous reste à hiberner…..
J’ai beau me dire que nous avons toute la vie devant nous, QQ et moi je trouve le temps long et j’enrage de faire mes quelques 70 kilomètres rien que pour un pansage. On ne peut pas dire que cet hiver, il aura été épuisé au travail, à se demander pourquoi j’ai fait ces mauditz analyses?!
Voilà 2 mois que l’on fonctionne ainsi 2 semaines de froid de gueux, 3 jours de mieux et on y crois à chaque fois, puis c’est les re deux semaine de froid de gueux. Ah, il n’est pas malheureux le cheval, il va au paddock quelques heures, rentre pour déjeuner, fait la conversation avec son voisin de boxe, une petite sieste jusqu’au diner… Mais JE suis malheureuse et hyper frustrée.
Puis je me dis: est ce qu’il ne va pas régresser et perdre toutes ces belles choses que j’avais mises en place sur lui? Non là je plaisante, je me suis trompée d’histoire c’est pas la notre! De ce coté rien à craindre, il ne peut matériellement pas régresser 
Quand je pense qu’il y a une dizaine ne jour je sentais le printemps arriver…. ça doit être ma rhinopharyngite qui m’aura induite en erreur….
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