La confiance ne se décrète pas. Il faudra donc attendre de nombreux mois pour que la confiance soit de nouveau chez elle en économie.
Tout se passe comme si nous étions entrés dans la salle d'attente d'une nouvelle étape de chute.
Une chute vers les 2 500 points du CAC, vers une dépréciation de l'immobilier qui stoppe les actuelles transactions ... ; bref, une nouvelle étape dans l'enfer de la crise.
Nicolas Sarkozy peut-il inverser la tendance sur ce terrain psychologique ? Peu probable.
L'opinion lui reproche la promesse du pouvoir d'achat et celle de la "volonté qui crée un chemin". Ces deux promesses sont un lourd fardeau par les circonstances actuelles. Il faut attendre pour bénéficier d'une autre fenétre de tir.