L' enfant

J'ai vu l'enfant, je crois qu'il dort,La mort est là, nos âmes corrompues se taisent,Celle qu'on imagine, Barbarie des gens du livre,L'impunité se lit à mesure du temps,Un monde oublié sombre dans la détresse
Ses yeux fermés ne verront plus le jour,
Il a été banni , rejeté de la vie, autour
Le silence est de mise, l'amnésie qui nous gagne
Porte haut : le sourire figé, il est beau !
Et au milieu, ce trou, le centre de la vie anihilée
Le desespoir cru du non -dit, l'horreur glacée
On oublie cet instant, on se tait , le silence est complice
Nos ames corrompues ont attisé les braises
Et nos cerveaux serviles, corrompus compatissent
Nous sommes avilis, nous somme les complices;
Source: link fatahelbab-overblog.com/article-27025002-6. html
Le Mal désormais ronge nos ames
Les remords restent, éternels, inoubliés
L'indicible candeur un instant s'est envolée,
La peur a ressurgit les flammes de l'enfer
La justice des hommes n'est plus,
Rien ne peut plus se faire, à cet instant
De devoir se taire, taire l'angoisse qui nous prend,
Lentement , et nous fermons les yeux, les larmes
Coulent de nos utopies oubliées, la Paix n'est plus,
La force tranquille et animale frappe et tue,
C'est l'Espoir tué prés de nous, la déraison ultime,
Il y a ce linceul, blanc comme une colombe,
Assassinée, meurtrie les membres tuméfiés!