Un article ServicesMobiles.fr
Depuis son lancement, Android est la cible de nombreuses critiques. Que ce soit le design du premier téléphone, le modèle économique non finalisé de l’Android Market ou encore l’incohérence de l’interface utilisateur, beaucoup parlent d’un OS Beta (comme beaucoup de produit google). Il est également sans cesse comparer à l’emblématique Iphone, la dernière joute étant basé sur les rumeurs du nombre de vente du G1 comparé à celle de l’Iphone 2.
Ces premières critiques me semblent clairement dûs à la jeunesse d’Android, mais comme pour tous les produits Google ça n’empêche pas des milliers de gens d’être utilisateur. Quant à la mise en concurrence elle est naturelle, même si j’ai souvent l’impression que les gens oublient souvent que l’Iphone à une version d’avance et une plateforme de distribution bien rôder. Sans circonflexe, cela veut dire “user”.">rôder. Sans circonflexe, cela veut dire “user”.">rôder. Sans circonflexe, cela veut dire “user”.">rôder. Sans circonflexe, cela veut dire “user”.">rôder. Sans circonflexe, cela veut dire “user”.">rodé (avec Itunes). Aujourd’hui de nouvelles inquiétudes ressortent des quatre mois d’utilisation du premier téléphone.
Tout d’abord, la sécurité de la plateforme, car contrairement à l’Iphone elle laisse beaucoup de liberté aux développeurs. Les rumeurs d’application malicieuses faisant leur premier pas sur la toile on peut se demander si cette liberté donnée aux développeurs ne va pas effrayer l’utilisateur et surtout les entreprises. Par exemple j’ai personnellement développé une application qui permet d’envoyer des Sms de manière programmé, cette application nécessite : l’accès au contact, au système pour réveiller l’envoi et enfin à internet pour gérer les mises à jour. À part ma conscience rien ne m’empêche de mettre dans cette application des comportements malfaisants. Malheureusement je ne suis pas sûr que tous les développeurs prône le “don’t be evil” de google. Curieusement aucun utilisateur (5000 pour le moment) ne m’a posé de question sur ce sujet !
Ensuite c’est le modèle de distribution open source qui peut finalement poser problème. 15 jours avant le “Mobile World Congress” de Barcelone, de nombreuses rumeurs d’annonces de nouveaux téléphones Android pullule. Hors les développeurs peuvent se demander si les constructeurs auront enrichi Android intelligemment sans provoquer d’incompatibilité au niveau des applications présentes sur l’Android Market. Le billet qui m’inspire celui-ci appel ça “la fragmentation” est pour lui c’est inévitable. Malheureusement en ayant un seul téléphone sur le marché il y a déjà un exemple puisque T-Mobile peine à porter la nouvelle version d’Android (nom de code cupcake). Le téléphone Kogan Agora a retardé sa sortie pour supporter cette prochaine version. Si elle est inévitable la fragmentation a au moins un avantage : elle améliore la sécurité puisque les applications malicieuses auront un monde moins vaste à conquérir.
Pour l’instant la partie visible de l’iceberg du projet Android nous dit que l’open alliance hanset est là pour éviter la fragmentation. Quant aux applications malicieuses Google a le fameux bouton rouge ! C’est un peu maigre non ? Source Ludovic Perrier pour la rubrique Google/Android