Dans un bureau qui sent encore la peinture fraîche, les cyberdouaniers repèrent depuis leurs écrans d’ordinateurs les trafics de contrefaçons, de drogue et de tabac qui prolifèrent sur internet pour tenter d’y mettre fin au terme de longues enquêtes.Pour la première fois, mardi, la direction des douanes avait ouvert à la presse les locaux de la très discrète Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED, 700 personnes), plus petit des services de renseignement français et bras armé des douanes.
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