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Romuald : “Je suis le champion des champions !”

Publié le 16 février 2009 par Tommy

Romiald revient sur sa victoire de vendredi soir sur TF1. Il estime avoir pris sa revanche sur sa participation à Koh-Lanta 4 où il avait échoué aux portes de la finale. Aujourd’huin il est le champion des champions, le héro des héros.

Romuald, vous venez de remporter « Koh Lanta, le retour des héros ». Qu’est-ce que ça représente pour vous ?
J’ai beaucoup de mal à réaliser, à me projeter. Il va me falloir quelques jours pour m’y faire. Je partais comme challenger, entouré de candidats qui ont déjà gagné Koh Lanta lors d’éditions précédentes. Et finalement, je suis le champion des champions ! Cette victoire est pour moi liée à la naissance de ma fille, Lou-Ann, le 31 janvier. J’avais envie d’aller au bout, parce que j’avais fini quatrième il y a quatre ans. C’est une victoire morale surtout.

Vous vous étiez préparé pour cette deuxième participation au jeu ?
Oui, car j’avais eu beaucoup de mal en 2004 à supporter les problèmes relationnels. Cette fois, j’ai travaillé sur moi, j’ai fait de la sophrologie, de l’imagerie mentale. Du coup, j’étais facile. Malgré les conflits, j’étais bien avec tout le monde, sauf peut-être Catherine. Quand je bouillais, j’allais me baigner avec JB - Jean-Baptiste, un autre participant, NDLR - pour m’échapper un peu.

Vivre les uns avec les autres 24 heures sur 24, c’est dur psychologiquement ?
Ce qui rend les relations difficiles, c’est la faim. Quand on ne mange pas, on manque de lucidité et ça se répercute sur les paroles. D’autant que cette édition était dure physiquement. J’ai essayé de trouver du positif chez les gens. Et je voulais donner une bonne image de moi.

Avec un peu de recul, pourquoi l’avez-vous emporté ?
J’étais compétent dans les épreuves, j’ai fait des efforts sur le camp, beaucoup pêché. Et puis j’ai eu de la chance aussi. Quand j’analyse ces trois semaines passées en Amazonie, je les divise en trois parties. D’abord le temps des équipes - les jaunes contre les rouges, NDLR - où le plus important, c’était que mon groupe gagne des épreuves pour arriver en supériorité numérique au moment de la réunification. Ensuite, la phase individuelle jusqu’au carré final, où il fallait faire preuve d’un peu de stratégie. Enfin, de la quatrième place à la première, la chance a beaucoup compté.

Les gens vous félicitent-ils dans la rue ?
J’ai signé cinq ou six autographes dans le train qui nous ramenait de Paris. Et samedi après-midi, j’en étais à 83 SMS sur mon portable et 121 mails de félicitations !


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