Magazine Journal intime

Les nouvelles du monde de la SEP...

Par Handiady
Lu sur telecablesat.fr:
"Grégori Baquet : ma sœur et moi

Dans «Ma soeur est moi», téléfilm de Didier Albert, Grégori Baquet joue à la fois un homme et une femme et donne la réplique à Bernadette Lafont.

Avec ses talons hauts, ses robes moulantes, sa perruque blonde, ses faux cils, Grégori Baquet (fils du comédien et violoncelliste Maurice Baquet) livre un numéro étonnant dans cette comédie, sorte de Tootsie à la française. L’acteur, chanteur à ses heures pour la comédie musicale Roméo et Juliette), raconte comment il s’y est pris pour jouer ce double personnage.
 
Comment décroche-t-on un rôle aussi complet ?
La production voulait quelqu’un de connu et plutôt un humoriste. Ils ont vu Stéphane Rousseau et Eric Métayer avec qui je me suis retrouvé pour passer les essais. J’ai été choisi. J’étais bien content.
 
Comment avez-vous abordé ce double rôle ?
Ce genre de rôle est rare pour un comédien. J’étais flatté mais angoissé, car si je m’étais déjà travesti pour le théâtre, je ne l’avais pas fait pour la télé.
 
Les difficultés que vous avez rencontrées ?
Je n’ai pas eu l’impression de galérer. Sans doute grâce à la part de féminité que j’ai en moi. Féminité que je ne renie pas du tout. Après, ce n’est pas facile de marcher avec des talons aiguilles. J’ai eu une coach qui m’a appris comment marcher en hauts talons et danser. Je ne voulais pas trop en faire un truc de composition. Je voulais que ça fasse naturel. Le déguisement m’a aidé à composer le personnage de Lucie.
 
Combien de temps fallait-il à la maquilleuse pour obtenir ce résultat ?
Une heure et demie de maquillage. Je me suis rasé entièrement pour être crédible.
 
Comprenez-vous mieux les femmes ?
Disons que je m’y connais un peu plus. Ce qui était drôle, c’était que les maquilleuses, habilleuses, coiffeuses… étaient super copines avec moi, quand j’étais habillé en femme. Elles entraient dans ma loge sans frapper et ne se préoccupaient plus de savoir si j’étais à poil ou pas. Ça ne dérangeait personne. Le lendemain, je revenais sur le tournage en Julien, c’est tout juste si elles me serraient la main.
 
Vous est-il arrivé de jouer Julien et Lucie dans la même journée ?
Bien sûr ! Sur vingt-cinq jours, j’ai eu une bonne dizaine de jours où je devais passer de l’un à l’autre dans la même journée. C’était assez pénible.
 
Connaissiez-vous Laurent Ournac («Camping Paradis») à qui vous donnez la réplique ?
Non,et j’ai été très agréablement surpris. Il a une bonne bouille et c’est un excellent acteur. Il est adorable. On a pas arrêter de déconner. C’était cool de le rencontrer.
 
Vous retrouvez Bernadette Lafont…
J’ai eu la chance de jouer avec cette actrice plusieurs fois. J’ai commencé la comédie en étant son fils, au théâtre, il y a un peu plus de dix ans, dans L’Arlésienne. On ne s’est pas perdu de vue. Il se trouve que l’an dernier, j’ai réalisé un court métrage, Du poil de la bête et j’ai voulu qu’elle joue dedans. J’ai cru comprendre que Bernadette a insisté pour que j’aie le rôle de Julien dans Ma soeur est moi.
 
Votre fils a-t-il vu «Ma soeur est moi» ?
Pas encore. Il le verra à la télévision.
 
Pouvez-vous nous parler de votre implication dans «Tous en scène», une association caritative ?
Elle récolte des fonds pour aider les malades de la sclérose en plaques.
J’organise des concerts dans lesquels viennent chanter des artistes. J’organise deux ou trois concerts par an. Je fais également les arrangements du spectacle.

Isabelle Inglebert
Télécâble Sat Hebdo
lundi 16 février 2009"
***MON GRAIN DE SEL: j'ai raté ce film qui devait être fort bien fait! Pfff!
Lu sur lunionpresse.fr:
"Bloqué trois quarts d'heure dans un lève-malade
Les nouvelles du monde de la SEP...
C'est la première fois que Lisette et Bogdan Horun connaissent ce genre d'incident avec un lève-malade.
Samedi, Bogdan Horun est resté suspendu dans le hamac de son lève-malade pendant trois quarts d'heure. Ce sont finalement les pompiers qui l'ont tiré de sa fâcheuse posture.
AgÉ aujourd'hui de 60 ans, Bogdan Horun souffre de sclérose en plaques depuis 30 ans. Un handicap qui a conduit son épouse, Lisette, à avoir recours à un lève-malade électrique.
Le premier appareil lui a été livré il y a quinze ans par la société Locapharm, installée sur la zone industrielle de Mohon.
« Depuis », explique Lisette Horun, « nous n'avons jamais eu à nous plaindre de cette société qui nous a également fourni le fauteuil et le lit médicalisé ».
Et pourtant, le troisième lève-malade, que Lisette utilisait depuis trois ans, est tombé inexpliquablement en panne, samedi, à 13 h 30, au moment précis où Bogdan était suspendu au-dessus de son lit, en attendant d'être installé dans son fauteuil.
« A 13 h 30, j'ai voulu le lever comme je le fais environ une fois par mois, car nous devions aller chez notre deuxième fille à Reims. Normalement, on le redescend avec la télécommande, mais elle ne répondait plus ».
Blocage complet
Lisette et sa fille essaient alors de débloquer l'appareil avec la commande manuelle prévue à cet effet.
Elles vont même jusqu'à se pendre à la barre supérieure du lève-malade pour tenter de faire redescendre Bogdan jusqu'à son lit. Sans résultat.
« Finalement, j'ai appelé Locapharm assistance, au numéro qui est indiqué sur l'appareil. Et là, le monsieur m'a dit qu'il ne pouvait pas intervenir tant que le malade était accroché à l'appareil. Je me suis un peu énervée. Je voulais descendre mon mari. Il était fatigué et le hamac lui faisait mal aux jambes ».
En désespoir de cause, Lisette appelle les sapeurs-pompiers.Qui lui répondent qu'ils ne peuvent intervenir sans l'autorisation du Samu.
Finalement, après un appel au Samu et un autre au commissariat, les sapeurs-pompiers viendront délivrer Bogdan de sa fâcheuse posture, après trois quarts d'heure d'un séjour dans un hamac qui n'avait rien de comparable avec ceux que l'on accroche entre deux cocotiers.
Batterie chargée
« Le problème devait venir de la batterie », confiait Bogdan, à peine remis de ses émotions. « Pourtant, on l'avait chargée pendant trois jours alors que normalement, 48 heures suffisent ».
Du côté des sapeurs-pompiers,on confirme que ce genre d'interventions nécessite effectivement un accord du Samu.
« A partir du moment où il ne s'agit pas d'une détresse vitale, où il n'y a pas un risque grave pour la personne, c'est le Samu qui prend la décision de se rendre sur place ou d'envoyer un médecin ou les pompiers. Lorsque la dame nous a téléphoné, nous lui avons donc passé le Samu, mais elle a raccroché. Après, nous avons essayé de la rappeler mais nous sommes tombés sur sa messagerie. Comme elle avait l'air paniqué, nous avons envoyé une équipe ».
Une équipe que Lisette Horun a accueillie avec le soulagement que l'on devine.
« Dites bien qu'on remercie les pompiers. Sans eux, je ne sais pas ce que nous aurions fait ».
Bernard Giraud
Article paru le : 16 février 2009
***MON GRAIN DE SEL: alors là! C'est le genre de truc qui aurait pu m'arriver il y a peu de temps! Il faut toujours faire vérifier l'état de ces machines! Les handicapés dépendent de la technologie, elle doit être nickel! Etre longtemps dans un hamac soulève-malade, ça peut coincer douloureusement cuisses et ventre, pas du tout enviable! Ceci dit, j'attends toujours que ma titine revienne de SON contrôle technique!!!!!
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