Où est Charlie?

Celui à pull rayé, chais pas.
Mais le Charlie Winston, hier soir, il était au Jeu de Paume pour un event organisé par Courrier International.
J'avais pas trop accroché son album et j'ai pas cherché plus loin. Pas de deuxième écoute.
Et principe (très) con, je m'intéresse pas aux trucs qui buzzent. Comme ça a été son cas à lui...
Mais quand Blondie Ginger m'a proposé de le voir en concert acoustique, dans un cadre un peu confidentiel et avec la possibilité de (re)voir l'expo de Robert Franck juste avant, j'ai accepté direct.
Bien m'en a pris.
Charlie Winston est un bon.
Bon chanteur, bon musicien, bon songwriter.
Son petit live était génial. Lui à la guitare et un acolyte qui faisait les percus en tapant sur une baffe. L'assistance était transportée. Ca chantait, tapait des mains, kiffait sa race... Il nous a fait chanter avec lui. Bon, un truc à la con genre "your father was a duck" mais pas grave. Pour moi, c'est toujours un signe de générosité, de partage, quand un artiste fait ça. Quand il parle au public entre les chansons aussi. Et Charlie (ouais ouais, on a sympathisé, c'est un pote maint'nant toussa...), il nous a parlé dans son français approximatif. Toujours très souriant, sympa, genre vraiment content d'être là. Chais pas, bonnes vibes du mec. Il est en promo, certes. Mais il s'est pas contenté du minimum syndical.
C'était pêchu à des moments, notamment sur son single Like a Hobo ou Kick the Bucket (morceau sur lequel il a fait l'human beat box à un moment. Argh! GG!!!), très doux à d'autres comme sur Calling Me (chanson qui m'a traumatisé, que j'écoute en boucle depuis que je suis rentré et que je linke parce qu'il faut ABSOLUMENT l'écouter).
Quelques photos :



Un très très joli moment, quoi.
Et là, il est quasiment 4h30 du matin. Je vais me coucher, donc.
Bonne journée...
:)
.