Aujourd'hui je devrais être de mauvais humeur et ce pour plusieurs raisons :
- j'ai mes règles (enfin, elles arrivent, quoi)
- c'est la pleine lune
- hier, à la piscine, c'était un cauchemar, trop de monde, impossible de nager dans le couloir lent (quand on ne sait pas nager, on apprend au moins à tenir sa droite plutôt que de nager en plein milieu. Mieux, on ne nage pas et on fait autre chose que de la piscine) donc j'ai dû aller dans la ligne rapide dite celle des crétins qui pensent savoir nager et font carrément n'importe quoi genre nagent le dos en zig zag en percutant les gens et surtout viennent vous nager dans les jambes au lieu de vous dépasser. Du coup, à un moment, au lieu de donner un coup dans l'eau pour avancer, je l'ai donné dans un mec pesant tranquille ses 90 kgs. Sauf que mon genou n'était pas préparé et ça m'a fait TRES mal. J'ai failli en pleurer d'énervement tellement j'en avais marre de pas pouvoir nager. Donc désormais, la piscine sera les mardis et les vendredis, les soirs où ça ferme tard, je laisse tomber les autres soirs. Mais voilà, ça m'a pas détendue, quoi
- j'ai cassé mon biscuit dans le café. Je DETESTE ça, je bois des miettes après, c'est dégueu.
Et pourtant, j'ai décié de vous faire gagner des trucs. Ouais. Alors voilà, super Véro a réussi à arracher à la sueur de son front trois exemplaires d'Impardonnables de Philippe Djian. Ouais, 3, car-ré-ment.
Alors comment gagner allez vous me demander. Bonne question. Alors j'ai réfléchi, que peut-on faire comme jeu pour gagner un livre (non, pas le coup des 3 premiers qui commentent gagnent) ? Le livre parlant de pardon (ou de non pardon), je me suis dit "tiens, demandons leur une histoire de grosse bêtise et comment ils se sont fait pardonner".
Bé voilà : pour gagner, racontez-moi une grosse bêtise que vous avez faite (n'étant pas trop punie par la loi, j'accepte des histoires de joints fumés en cachette par exemple mais si vous avez coupé la tête de quelqu'un, même par accident, non) et comment vous vous êtes fait pardonner. Ou essayé de vous faire pardonner.
Et la semaine prochaine, je vous dis qui a gagné. A vos claviers !