On appelle ça de l'art cinétique, il s'agit pour le spectateur d'être acteur
dans cette exposition, qui mélange art et technique informatique.
Un résultat surprenant pour les grands et les moins grands qui font bouger la forêt, ou se remplir une toile au gré de leurs mouvements.
Le but avoué de l'exposition est de questionner notre rapport à la nature après l'inscription des technologies dans l'art, en
nous offrant la possibilité de perturber virtuellement des environnements végétaux par le biais de dispositifs technologiques.
Formes génétiques virtuelles, comportements biologiques, détournements de processus scientifiques, autant de sources d'inspiration issues du vivant.
Ca bouscule l'idée d'une galerie de peinture traditionnelle, curieux et surprenant...