Les Springboks sont l'objet de critiques pour ne pas s'être beaucoup ouvert aux joueurs de couleur, 13 ans après la chute de l'apartheid.
Sur les 30 joueurs sélectionnés pour le Mondial, figurent seulement cinq métis et un noir.
Mais leur président, qui les recevait samedi avant leur départ pour la France, ne veut pas qu'ils soient perturbés par des questions d'ordre politique :
"Quand vous serez partis, oubliez toutes ces controverses que nous, les hommes politiques, nous soulevons. Ne vous en occupez (...)