On n'en finit plus d'être bluffé par les cinéastes de la Nouvelle vague japonaise que sont Nagisa Oshima et Kîju Yoshida, on ne pourrait plus aujourd'hui faire des films aussi forts et novateurs, tellement brillants et engagés, racontant une histoire en miroir en synergie avec l'histoire de leur pays, décuplant par là la force de leur cinéma. Cinéastes de génie, maniant aussi bien les images que la cérébralité, l'un est plus physique, l'autre plus intellectuel, chacun aura sa préférence mais quelle force...
Après quatre nouveaux DVD d'Oshima dont
"L'Obsédé en plein jour" et "Eté japonais, double suicide"
, parus le 4 mars dont je parlais dans