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Let’s make slow sex!

Publié le 25 mars 2009 par Dateurenserie

Samedi soir au Belmont, j’étais pas mal sur le party. Ce qui implique que j’étais pas mal sur la boisson. Pichet par çi, shooter par là. Même du Sour puss et des amaretto jus de je-ne-sais-même-plus-quoi. Fallait bien que ça soit la fête d’une fille pour que je boive ça! Qu’on m’amène de la téquilla!!

Bref, je ne veux pas vous énumérer tout ce que j’ai bu ou non. Je voulais vous amener dans mon état d’esprit, si esprit il y a. De quoi parle un gars saoûl? De niaiseries vous allez me dire. Totalement faux. Ça parle des vraies affaires et de ses sentiments profonds. De quoi j’ai parlé toute la soirée? De La Chiro. Merde elle me suit même en état second. C’est plus fort que je croyais…

Dimanche midi, à mon réveil, je n’avais qu’une idée en tête: revoir La Chiro le plus vite possible c’est-à-dire, dimanche soir. Elle avait un souper d’organisé chez elle avec une amie mais ça ne semblait pas lui tenter plus que ça alors je l’ai invité à faire un petit mensonge blanc. Un mensonge qui ne fait pas mal. Soit d’inviter joyeusement la convive à quitter vers 20h30 pour me laisser toute la place à 21h. Ne suis-je pas brillant? Ça doit, elle a accepté.

Arrivé chez elle, elle était encore sous la douche. À sa sortie, le même effet que la veille s’est produit. Cette fois par contre, elle était beaucoup moins vêtue. Une genre de jupe très courte en coton faite pour dormir avec une camisole qui moulait sa petite poitrine sans soutien-gorge. Ses cheveux étaient encore humides et elle sentait encore le savon. Mesdames, c’est exactement à ce moment précis que je vous marierais toutes.

Nous nous sommes installés devant la télévision avec une bouteille de Gallo rosé. Je me suis mis à l’aise car je détonnais avec sa tenue légère. Elle dévoilait beaucoup de peau et j’avais envie de la sentir contre la mienne, pas à travers un jeans et une veste. Il n’en fallait pas plus pour que les rapprochements se mettent de la partie sans pour autant dégénérer… pour l’instant.

Plus tard, j’ai eu droit comme j’espérais à un craquage de dos en règle. Et ce gratuitement, bien sûr. Par la suite, nous avons accompagné la bouteille déjà entamée d’un délicieux dessert chocolaté qu’elle nous avait préparé. Pour joindre l’utile à l’agréable, nous nous donnions mutuellement des bouchées ce qui éveille les sens, laissez-moi vous l’dire!

Bon, comme quelques personnes désirent que j’entre plus dans les détails de ma vie sexuelle, voilà ce qui s’est passé. Mais je ne suis pas un écrivain de littérature érotique. Enfin.

Nous sommes allés nous allonger dans son lit. Moi en boxeur, elle en petite culotte brésilienne. Sans chandail. Ses seins, que je savais déjà petits était tout de même d’une rondeur parfaite. J’aime les beaux seins. On me demande souvent si je préfère les gros ou les petits. Je répond toujours les beaux.

Quelques minutes plus tard, le peu de vêtements qui couvraient l’essentiel de nos corps, couvraient à présent le plancher. Après quelque guili-guili en règle, elle m’a fait découvrir le slow sex. J’étais réticent avant car je voyais toujours le sexe différemment, plus intense et rapide. J’avais tord d’associer intensité à rapidité. Je rigolais des autres qui parlaient de leur relations sexuelles en terme d’heures, moi qui avait la sensation du devoir accompli après 30 minutes. Et bien, ce n’est qu’après deux heures, beaucoup de sueurs, de caresses, de regards passionnés que j’ai dû m’avouer vaincu et ouvrir les valves.

Il était tard, je devais me lever tôt et faire une heure de route. Mais j’avais le sourire aux lèvres car j’étais bien. À suivre…

D.


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