Jean-François Copé reconnaît l'avoir reçue du chef de l'Etat pour avoir osé laisser s'exprimer à l'Assemblée nationale les députés UMP qui n'étaient pas favorables au retour de la France dans le commandement intégré de l'OTAN. Copé se défend :
"J'assume la liberté d'expression au sein du groupe, c'est l'apanage d'une majorité moderne (...) [il est] normal qu'un orateur UMP sur huit puisse disposer de cinq minutes pour exprimer une opinion qui correspond à une sensibilité réelle dans la majorité".