Le vent balaye la vie branlante à tout va,
Nous étions là dehors à regarder ses pas,
Il marchait hagard seul baissant la tête,
Malheureux de ses choix, il en a pris perpète!
Elle m'a cru touché ce matin de le voir,
Ce après ces années d'épreuves sans espoir!
Mais quelle fausse idée de croire une passion
S'ouvrir à la vie comme autre mission!
Il faut rester de glacer malgré les apparences,
Les limites du Mal sont près de la décence,
Laisse donc le temps égarer du chemin
Les êtres maléfiques qui sont de ton destin.