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une fois,

Publié le 08 mars 2009 par Plouf
un bout de canapé pour se dire des choses,
Quand nul ne veut parler juste une qui ose,
Clamer en grand sa foi et parler de sa peine
Grande est l'innocence que de dire je t'aime!
Brandis le macaron du diable sur la place,
Quand  nul ne regarde un seul tient la place,
Je rentre dans le jeu je veux garder la face.
A l'autre bout du quai personne n'attendait
Et là pour plus d'un heure fallait rester de glace,
Jusqu'à ce qu'un enfant vienne faire une grimace,
Là je me suis levé jusqu'au café d'en face,
Hélas sans dirrahm je me suis arrêté,
Et du premier avion je m'en suis retourné
aurais-je du attendre, encore espérer,
L'amour est u chance à pas laisser passer,
Et c'était trop étrange, tout ce qui arrivait,
hélas je ne sais, ce qui serait passé,
car là je suis seul, personne à qui parler,
au bout du canapé, tout juste mon reflet,
Celui d'un grand miroir, qu'un jour j'ai trouvé!
Car à mon retour, plus jamais connectée,
Je n'ai pu la revoir, ni même lui parler!
Parfois je rêve encore, à cette étrange histoire,
Elle avait un oeil bleu, et aussi un oeil noir,
J'aurais pu l'épouser, et peut-être l'aimer
Mais là de cette histoire, qui n'est que du passé,
Juste une rêve d'un soir, très vite oublié!
Pour moi qui suis tout seul et là en fin de vie,
Je me dis c'est ainsi que d'accepter la vie,
Une Heure de retard était-ce trop pour moi
Peut-être aurais -je du attendre, ô je le crois!

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