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Adriana Lima & Photoshop By Gemey Maybelline.

Publié le 28 mars 2009 par Mélina Loupia
Chez Gemey Maybelline, ils sont parfaits. Surtout quand il s'agit de parler du nouveau fond de teint Dream Satin Fluide.

Enfin, surtout en castings.

C'est vrai quoi. Adriana Lima, on a connu pire comme boudin. Surtout nue.

C'est tout à fait normal de prendre en exemple le grain de peau d'une bombasse pour vanter les mérites d'un fond de teint sensé unifier le teint.
Encore que la star de la pub en question, c'est plutôt la balle de golf.
Logique, on a bien des auto-tamponneuse dans les serviettes hyégiéniques, des règles bleues, et du calcaire noir dans nos cuvettes de chiottes.

Forcément, pour montrer la couvrance parfaite d'un fond de teint, la balle de golf, c'est logique.

Ensuite, Adriana Lima, dont la propension au pore dilaté frise celle du taux de CDI signé par jour en France, forcément, on peut pas se rater.

C'est assez marrant tout de même, si on a pas trop la mémoire courte, que y a quelques mois, chez Gemey Maybelline, la tendance était plutôt à l'inverse, comme quoi il fallait surtout revenir au naturel, que le fond de teint qui encrassait les petits pores, c'était mauvais pour la santé, alors sus à l'enduit, vive le minéral, le pur, le bio, le sobre, avec le Pure Mineral. Avec sa poudre si fine qu'on se demande si on s'est maquillé en fait, mais c'est pour que la peau, elle respire.

Ce qui semble d'emblée bien ardu avec le Dream Satin Fluide. Ou alors, faut entraîner sa peau à l'apnée pure, comme Jacques Mayol, qui en est mort.

Le truc, on pourrait l'appliquer à la tyrolienne à crépi tellement il te couvre la balle de golf comme le chocolat Nestlé desserts sur la poire.

Mais c'est pas finalement le plus grave, cette histoire de balle de golf cobaye.

Le plus irritant, c'est qu'au final, le fond de teint Dream Satin Fluide, c'est du Photoshop en tube. Et après, on s'insurge que les gamines tournent mal, anorexiques, scarifiées, maquillées à la truelle à 12 ans pour coller à leurs idoles dans les pubs.

Putain, ça m'énerve...


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