Sans forces, la puissance retombée,
J'ai vu ma nuit lentement s'effondrer!
Mes membres sont inerteS, voilence inhalée,
Je pleure mon mal être et à peine survi,
Dans un caveau de hètre de finir ma vie,
Je te verrais peut-être sur la fin de l'été!
Où sont passés mes rêves, mes joies et mes plaisirs,
Je crève à petit feu je ne veux pas mentir,
Mon corps est de bois dont on fait de la braise,
Le feu dans tout mon corps tout près de la falaise!
Je ne veux plus te dire que ces maux qui te fachent,
J'ai pris dans ma tunique comme un aire d'apache
Des terres éternelles où je veux m'évader,
Et pour cette nuit oublier mon passé!