Voilà ce qui arrive quand ce bon Monsieur Henri n’a pas pondu le discours du Guide de la Nation, laissant celui-ci nager dans son parler naturel. Le résultat est plutôt lamentable : du populisme plat et vulgaire qui ne fait rire que ses courtisans.
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Du très mauvais “Bigard”. De la gouaille de comptoir.
Ça ne s’arrange vraiment pas. Mais il vrai que pour Nicolas Sarkozy, ce n
’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa gueu se taire.
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