Ha ha les politiques sont quand même vachement rigolos quand au lieu d’avouer qu’ils n’ont pas compris une question, ou qu’ils ne maitrisent pas un sujet, ils préfèrent partir dans de longues phrases, sans queues ni tête, un peu comme celle que vous êtes en train de lire, pour tenter de noyer le poisson…
Et c’est ainsi que notre Christine nationale, à la question fort pertinent de Christian Paul :
« Les dispositifs de sécurisation des ordinateurs sont à l’opposée des dispositifs que peut tolérer et accepter le logiciel libre. Ou bien vous considérez que le logiciel libre ça n’a pas d’importance, que vous décrétez l’indifférence nationale contre le logiciel libre, ou bien vous nous dites comment c’est compatible »
Répond :
Si c’était pas aussi grave on en rigolerait presque…
Et le transcript pour ne pas en perdre une miette (pompé honteusement sur framablog)
« Sur les logiciels… sur l’affaire des logiciels libres, évidemment les logiciels libres, quand on achète, évidemment des logiciels, par exemple le pack Microsoft (ça c’est pas du logiciel libre) : Word, Excel, Powerpoint, il y a évidemment des pare-feux, je viens de le dire, il y a des logiciels de sécurisation. Mais sur les logiciels libres vous pouvez également avoir des pare-feux, qui d’ailleurs, mais évidemment. Par exemple, nous au ministère, nous avons un logiciel libre, qui s’appelle Open Office et il y a effectivement un logiciel de sécurisation qui empêche en effet le ministère à la Culture d’avoir accès, bien sûr, et les éditeurs de logiciels libres fournissent des pare-feux, et fournissent même des pare-feux gratuits. Donc cet argument est sans fondement. Voilà ce que je voulais dire. »
Via (Merci à Pierre-Marie Machin, un nom qui sent bon le pseudo bidon pour l’info)