- Les soirs où tu dors avec. Tu te réveilles le matin avec les lentilles collées à la rétine...
- Les soirs où t'as plus de produit alors que merde, ça fait une semaine que tu sais que tu dois en racheter, triple andouille ! Tu te retrouves à jouer l'apprenti chimiste avec une bouteille de chlorure de sodium et une bouteille d'eau oxygénée pour faire du produit "home made"...
- Les matins où tu retrouves ta lentille toute rabougrie, collée sur le bouchon du godet et que tu dois la ranimer en la faisant tremper deux jours... Bref, tous ces jours où, in fine, tu remets tes lunettes...
Magazine
Pinaise, j'ai le temps de rien moi en ce moment.
Faut pas croire, le chômage ça fait parfois des journées plus remplies qu'on ne pourrait le penser...
Bon.
Le bon plan "lentilles", il vient oui ?
Bien entendu, je ne vais pas vous parler des lentilles vertes du Puy. C'est très bon, certes. Surtout avec des lardons, mais on s'en cogne un peu...
Remarquez, ma copine la bibliothécaire, vachement branchée bio itou, son truc à elle ce sont les lentilles corail... Va falloir que j'essaye un jour, depuis le temps qu'elle m'en parle... M'enfin...
Les lentilles de contact et moi c'est une grande histoire d'amour...
J'ai rencontré les lentilles "permanentes" à l'âge de seize ans. Des machins en plastique souple que tu te fous dans les noeils tous les matins et qu'il faut que tu ranges dans un godet avec du produit tous les soirs.
Bon, forcément, y'a eu pas mal de loupés :