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Le retrait des enseignes cruciformes des pharmacies : un poisson d’avril… Pour combien de temps encore ?

Publié le 13 avril 2009 par Drzz

Je vous mets ici en ligne, l article et le lien concernant ces fameuses enseignes cruciformes et je vous ai mis en caractères gras ce qui mérite réflexion et qui n appartient ni à la farce ni au délire.

J avais été très heurtée par l histoire des sapins de Noel au Canada et pour ceux qui ont suivi l´ affaire, par le désir affiché de l un des Ministres en place d imposer un glissement sémantique qui ne puisse plus heurter la sensibilité religieuse musulmane. Cette tentative avait échouée mais elle était révélateur d´une tendance peu honorable de la classe politique de se coucher devant l´électorat musulman au détriment du respect des Traditions Françaises.

Il est d ailleurs au moins un lecteur musulman qui sur drzz.info a justifié la démarche imaginaire mise en cause dans cet article. Il y en a peut etre davantage; Je ne lis pas tous les commentaires.

Alors puissions nous tous, ne pas nous endormir sur nos lauriers et comprendre que ce qui est en marche n´est pas un poisson d´avril.

Fraternellement,

Rachel

Une tradition française, ça se respecte, Monsieur !

On ne peut pas dire que Novopress et ses partenaires se soient montrés avares en matière de respect de la tradition du 1er avril, puisque ce ne sont pas moins de trois poissons qui se sont glissés dans notre édition de hier !

Par ordre inverse d’apparition à l’écran, il y a peu de chances pour que Louis Schweitzer, grand gourou de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (HALDE), soit l’invité-vedette de la prochaine conférence du très identitaire Cercle Sainte Geneviève, lequel n’est assurément pas devenu américanolâtre.

Réunir sur un même plateau Nicolas Sarkozy, Jean-Marie Le Pen et Philippe de Villiers eut été un exploit digne des travaux d’Hercule, mais à l’impossible nul n’est tenu… pas même nos amis du Bulletin de réinformation quotidien de Radio Courtoisie.

Enfin, dès huit heures Novopress informait ses lecteurs que les pharmacies parisiennes pourraient bientôt être obligées de décrocher leur enseigne cruciforme pour ne pas heurter « certaines susceptibilités ». Un poisson d’avril, là encore. Les plus perspicaces auront su déceler qu’Ilda Vrospinos était non pas la conseillère technique du Cabinet de Bertrand Delanoë en charge des cultes mais l’anagramme de « poisson d’avril ». Et pourtant…

Que l’on se souvienne de ce juge de la Cour de l’Ontario (Canada), Marion Cohen, qui a ordonné en 2006 le retrait d’un sapin de Noël du hall d’entrée d’un palais de justice de Toronto parce que, selon elle, ce symbole risquait d’offenser des non-chrétiens ; Ou encore de cet autre juge, italien celui-là, qui a ordonné en octobre 2003 le retrait d’un crucifix dans une salle de classe d’une école primaire d’Ofena, car « la présence du crucifix dans les salles de classe véhicule l’adhésion implicite à des valeurs qui ne sont pas en réalité l’héritage commun de tous les citoyens » ; Sans oublier cette directrice d’une école maternelle du nord de l’Angleterre qui en mars 2003, avait interdit l’histoire des Trois petits cochons « pour ne pas offenser les élèves musulmans ».

Le retrait des enseignes cruciformes des pharmacies : un poisson d’avril… Pour combien de temps encore ?

http://fr.novopress.info/?p=16197




http://fr.novopress.info/?p=16197

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