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UBS : le grand silence frisé

Publié le 15 avril 2009 par Kalvin Whiteoak

Mis à part Doris, qui trouve qu’il est “temps pour chacun de se serrer la ceinture“,  Hans-Rudolf le bienheureux, qui est comme un gamin qui vient de recevoir une nouvelle locomotive pour son train électrique et les partis de droite applaudissent aux licenciements “inévitables” à l’UBS (à condition de ne pas conduire un trax avec un simple permis pour voiture télécommandée …).

Quant au reste du gouvernement, il est parfaitement muet. Il faut dire que depuis que le petit génie des alpages Kaspar est nouveau président du Conseil, et qu’il a déjà fait sa première grosse bourde en affirmant que le “offshore banking” était un secteur d’avenir, la fine équipe bernoise est rassurée : c’est un conseiller fédéral qui tient les clés du coffre.

Sauf qu’il ne sait ni comment on met la clé dans la serrure du coffre, ni où sont les morceaux et débris de caisses noires, ni comment on calcule un bête intérêt composé.

Pour un organe chargé de la haute surveillance et de la stratégie de la banque,  on est servi.

© emprunt du titre éhonté à F’Murr, ainsi que pour l’illustration

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