Les dates indiquées sont celles auxquelles j’ai relevé les différentes informations.
27 avril 2009
Le télétravail
Aujourd’hui, 65% des grandes entreprises et 19% des PME ont recours au télétravail.
En janvier 2008, 22% des entreprises équipées d’un ordinateur utilisaient le travail à distance, contre 16% un an plus tôt, selon une étude de l’Insee.
65% des grandes entreprises de plus de 250 salariés ont adopté cette organisation du travail, contre 19% des PME de 10 à 19 salariés.
Premier avantage pour l’employeur, le travail à distance réduit l’absentéisme.
Le travail à distance permet également de réduire certains coûts, comme les frais de déplacements du salarié. De plus, ce dernier travaillant hors de l’entreprise, il libère un bureau. L’employeur peut donc économiser sur les notes d’électricité, de chauffage ou encore sur la climatisation d’un bureau isolé, par exemple.
En réduisant ses coûts, l’entreprise s’investit dans une nouvelle politique managériale. Ce n’est plus le volume horaire passé dans l’entreprise qui prime, mais le management par objectifs qui devient la règle dans le travail à distance.
Anna-Eve y a rapidement mis un terme, après avoir constaté qu’en abolissant la frontière entre sphère professionnelle et privée, le télétravail ne lui laissait plus de temps libre. (Le Figaro)
23 avril 2009
Boîte e-mail «personnelle» et «professionnelle»
Concernant la messagerie professionnelle du salarié, «tout message non identifié par le salarié comme personnel, est considéré comme relevant de la sphère professionnelle», prévient la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). A priori, l’employeur ne doit pas intervenir dans la boîte e-mail des salariés, sauf en cas de problème grave et urgent, subordonnant la poursuite de l’activité. Dans ce cas, il a le droit d’accéder à la messagerie du salarié. Mais en tout état de cause, et sauf dans le cas d’une procédure judiciaire, «l’employeur ne doit pas consulter les messages de la boîte e-mail personnelle, ou tout courriel de ses employés comportant la mention «personnel» dans son corps ou objet du message», explique Alex Türk, président de la Cnil. Un usage abusif des messages identifiés comme personnels, peut, cependant, conduire au licenciement du salarié pour faute grave.
«L’usage à des fins personnelles des outils mis à la disposition des salariés est une tolérance de l’employeur, explique le site avocat.fr. Cette tolérance a pour limite la désorganisation du travail.». «Si le temps passé à surfer sur Internet ou à envoyer des messages privés, réduit considérablement le temps consacré au travail, de façon à ce que l’organisation des missions confiées au salarié s’en trouve désorganisées, le licenciement sera justifié» ajoute le site spécialisé
De l’usage d’Internet sur son lieu de travail
Utiliser Internet de son bureau, à des fins personnelles, est généralement admis et toléré, mais là encore dans des proportions qualifiées de «raisonnables» par la Cnil.
Surfer sur Internet favoriserait la productivité des salariés.
Si de nombreuses entreprises ne voient pas d’un bon œil que leurs salariés surfent sur Internet à des fins privées, elles pourraient avoir tort. Une étude publiée le 2 avril par le professeur Brent Coker, du département « management et marketing » à l’université de Melbourne en Australie, met en lumière que « de courtes et discrètes pauses, comme un petit tour sur Internet, permettent à l’esprit de se reposer, donc de favoriser la concentration lors d’une journée de travail, et au final, d’accroître sa productivité ». Selon les résultats de cette étude, les salariés qui surfent sont environ 9% plus productifs que les autres. Mais, ces courtes pauses ne doivent pas dépasser une » limite raisonnable « , fixé à 20% du temps de travail, nuance Brent Cocker. (Le Figaro)
17 avril 2009
Les « spams », ces courriers indésirables qui polluent les boîtes aux lettres électroniques, émettent chaque année autant de dioxyde de carbone (CO2) que 3,1 millions de voitures, selon une étude de la société spécialisée dans la sécurité informatique McAfee.
D’après ce rapport, qui étudie l' »impact écologique » lié aux 62 milliards de pourriels envoyés dans le monde en 2008, « le spam consomme annuellement 33 milliards de kilowatt-heures (KWh) » au fil des cinq étapes de sa vie: création, envoi, réception, stockage et consultation.
Cela équivaut à l’électricité consommée par 2,4 millions de foyers américains, avec des émissions de gaz à effet de serre équivalentes à celles produites par 3,1 millions de voitures, souligne McAfee.
Le tri, l’affichage et la suppression de ces messages par les internautes, ainsi que la recherche de mails « légitimes » interceptés par erreur par les filtres, représentent près de 80% de la consommation d’énergie liée au spam. (Les Echos)
11 mars 2009
Les cookies sont les nouvelles pépites du Web pour Google. Le moteur de recherche décide d’utiliser ces petits fichiers mouchards qui permettent de suivre le parcours des internautes pour pourvoir ensuite afficher, sur les sites visités, des bandeaux publicitaires adaptés au profil des utilisateurs. (Les Echos)
Ecrit par Lise - Site