drzz.info maintient ce que plusieurs journalistes et chercheurs soutiennent depuis huit ans : l'usine AZF de
Toulouse n'a pas été détruite par accident, mais par un attentat islamiste vraisemblablement commis par deux suscpects maghrébins.
A l'époque, l'administration Chirac voulait éviter de devoir mobiliser la population une semaine après le 11 septembre, et a préféré étouffer les faits.
Mais la vérité, comme souvent, est têtue :
(Le Figaro) Une étude publiée par l'Académie
des sciences montre qu'une première explosion a précédé celle du hangar 221.
Voir également :
AZF : le procès de la honte / AZF : un silence d'Etat / AZF : le Figaro
alimente la désinformation