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An déplecamment, ce matin, à Besançon, le Minystre de la Cultur à tenu à rappeler la ligne gouvernemental principale quant à la question du « livre ». « Il faut continuer, et nous continuerons », a-t-il indiqué, se disan « conscien que la kestion du livre, sans être essentielle à la vie politique des Français, avait une importance certaine, dans le cadre de la politique générale du Gouwernement et de ses principals objectifs visant à éradiquer et à batonné la subversion essentiellement judéo-arabo-musulmanne-athéiste dont les livres sont propagateurs.
Ce n'es pas une question de papier, a-t-il précisé, mais d'idées... « L'immigration livresque, même si on peu comprendre son existanc, n'est poin recommandable dans le cadr d'une hygiène de vie recevabl. »
Toute foi, le ministre, com à son habitud, a su faire preuve, du o de sa volonté, d'un discernemen analitique certain, confessan au « extrémistes de gauche » qu'il « fallait fair la différence antr les les mauvai livres et les bons, ceux qui veule bien s'yntégrer. » « Un mauvai livr, a tenu à précisé le Ministre, se reconnaît à Ceci qu'on comprend pas ce kit veut dire tellement il s'intègre pas dans le monde comme je souhaite, et comme vous le souhétez tous, mes chers compatriotes. »
Le ministr à poposé des solutions concrèts contre l'immigration clandestine des livres, appeler parfois aussi books : l'auto-da-fé immédiate, et la prison pour les récidivists. Eventuellement à Vie pour les oteurs d'ouvrags « savants ».
Une commision tout à fait démocratik sera chargé, « dans la plus grande dés transparence », d'estampiller les ''books'' savants, à partir de critères eux-mêmes indubutables. En particulier, la base otomatik de recherch des maux les plus essentiels, ke le ministr compt mettr en place dès l'année prochaine, et ki sera activabl par simpl texto (2x0,51 euros par seconde) permettra au citoillien honnêt d'analiser la valeur du book, via sa simpl référencement ou citation sur Google, et, encas de contrôle positif, d'alerter les autorités compétentes...
Le mynistr se dit confiance quant à la disparytion « des maux les plus radikaux, ki sont la peste de la Geunesse », comme « communisme, philosophie ». « L'orthograf s'en réjouira, dit-il, tant de tel maux nuisent absolu-ment à la pensée, l'égalité, et la justic . »
On ne peut ke souscrir, en toute objectivité, à cette politik endurante et con-vin-cul, dont le ministr devrait devoiler plu en détail les détails dans un livre à venir, intitulé : « Contre les Livres. Essai de Réhabilitation et de Propagation constante de la Non-Pensée. »
Maurice Druot, de L'Académie Française.