Il y a des matins, comme ça, dans le métro, vous n’arrivez pas à faire les mots croisés du quotidien gratuit du jour. Tout juste avez-vous réussi à mettre « Est », le e et le s étant issus d’un féminin et d’un pluriel des deux mots dans l’autre sens et la définition est « Cardinal d’Alsace ». Alors vous embrayez sur le Sudoku facile et vous craquez quand vous avez mis trois 9 dans le même pavé.
Alors vous vous dites que la fête de la veille fut bonne. La journée avait été bonne : vous avez passé votre temps à dire « Merci » sur votre blog, sur celui de Gaël, sur celui de Poireau, sur Twitter, sur Facebook. Vous êtes épuisé.
Puis vous arrivez à destination, faites votre billet antilibéral du matin et lisez les blogs. Vous vous rappelez alors ce très sympathique billet du vieux con puis de celui de Gaël avec ses belles vidéos que vous avez regardées dans les toilettes du bureau avec l’iPhone. Et la soirée vous revient en mémoire. Même la fin !
J’étais tout seul, au comptoir. Les copains venaient de partir. J’en avais eues, des surprises ! La première venait de Mathieu qui pour me faire plaisir était venu avecun copain encore plus gros que moi. La deuxième était venu d’un très sympathique blogueur de droite qui avait condescendu à traverser le périphérique pour me fêter mon anniversaire dans ce lieu magique qu’est la Comète, au Kremlin-Bicêtre et rencontrer d’illustres entrepreneurs envisageant de trainer leurs épouses dans ce temple de la beuverie blogosphérique ce qui ne serait pas très prudent. Il y avait, bien sûr, le Vieux Jacques, Tonnegrande (qui a oublié mon cadeau), Christian (qui, lui, n’a pas oublié), Michou (qui allait bosser, le pauvre), Djibril, le vieux Joël et des blogueurs plus habitués des lieux, dont les régionaux de l’étape.
Merci à tous ! Ca fut une très bonne soirée ! Hips…
Merci aussi à tous ceux qui m’ont souhaité un bon anniversaire en commentaires de billets de blogs pendant cette soirée et à qui je n’ai pas répondu, non pas par grossièreté mais, bordel, parce que c’est trop chiant de commenter à partir de l’iPhone.
Merci à ceux que j’ai oublié de citer dans ce billet d’avoir une certaine indulgence pour les trous de mémoire que je pourrais avoir. Par contre, j’ai volontairement passé sous silence l’arrivée tardive de Didier Goux qui avait passé sa soirée à dîner avec des jeunes communistes imberbes et qui était venu se finir parmi nous car je ne voudrais pas que son irremplaçable épouse sache qu’il s’est cassé la gueule dans la salle du fond. J’ignore s’il est bien rentré. Dagrouik m’a confirmé qu’il l’avait vu partir.
Ca fut une belle soirée. Entre mecs.