Obama semble décidé à ne pas diviser son pays en enquêtant sur l'entrée en guerre en Irak, ni sur les tortures et autres actions illégales conduites par le
gouvernement Bush.
Paul Krugman plaide brillamment contre cette résignation. Obama se justifie en expliquant qu'il veut regarder devant, pas
derrière. On peut rétorquer abruptement que quand on a les pieds dans la m..., mieux vaut regarder ses chaussures. Krugman est plus précis, et élimine toutes les mauvaises raisons qu'il y a à ne
pas vouloir revenir en arrière. On ne construit pas un avenir en niant son passé.