Magazine Bien-être

Ne plus souffrir pour s’ouvrir

Publié le 13 septembre 2007 par Blaise Llorca
Un ressort a la possibilité de “digérer” une déformation, une traction par exemple, et de revenir à sa longueur initiale. Cette déformation est appelée déformation élastique. C’est une déformation réversible. Si nous dépassons un certain seuil de déformation, le ressort compense et ne revient plus à sa forme initiale.
Les liaisons moléculaires se réorganisent et le matériau change de dimensions. La déformation est alors plastique, irréversible. Comme l’indique le schéma ci-contre, une déformation plastique trop importante amène à un phénomène de rupture.
Nous fonctionnons à peu près sur le même schéma mécanique. Lorsque nous sommes soumis à des contraintes (stress en anglais), nous avons une capacité à digérer ce qui nous arrive et à revenir dans notre équilibre personnel. Passé un certain seuil de stress alimentaire, physique, physiologique, psychique, nous devons nous “déformer”, nous devons “compenser” pour nous adapter à ce stress. C’est là que nous nous déséquilibrons et que notre corps va loger dans ses faiblesses propres, les tensions nécessaires à cette “compensation” due aux contraintes environnementales. La Vie a déjà prévu d’elle-même une possibilité subtile pour revenir partiellement de cette déformation plastique. C’est ce que la fasciapulsologie touche : elle donne le “coup de pouce” pour aider la personne à relâcher les tensions ancrées dans son corps.
Cette faculté d'accommodation aux contraintes extérieures donne une extraordinaire capacité d’adaptation à l’espèce humaine. C’est elle qui nous permet d’explorer tant de choses. Mais le revers de la médaille à cette capacité d’accommodation est que nous nous enfermons dans notre spécification. Pour prendre un exemple les mains d’un violoniste et celles d’un maçon ne peuvent plus s’adapter à l’autre fonction. Car c’est bien la fonction qui crée l’organe.
Il n’est pour autant pas nécessaire de garder en soi certaines de nos tensions pour bien se “spécialiser” dans son exploration. Une bonne partie des tensions que nous accumulons sont en fait des freins à notre évolution personnelle, à notre démarche de vie. Nous savons qu’il nous faut nous adapter sans cesse mais nous ne nous laissons pas la respiration suffisante pour le faire... De ce fait, nous nous laissons déborder par ce qui nous arrive et surviennent alors les lésions et les pathologies. Contrairement à ce que beaucoup de professionnels de l’écriture pensent, il n’est pas nécessaire de fumer pour pouvoir écrire calmement. C’est même en fumant qu’on s’empêche de mieux écrire... ça n’est qu’un exemple... il en existe des milliers.
La fasciapulsologie permet de se débarrasser du trop plein de tensions qui nous bloquent jusque dans notre capacité d’adaptation. La fasciapulsologie nous rend la capacité de digérer davantage de contraintes environnementales.
Nombre de personnes m’a dit qu’il prenait plus de recul sur ses contraintes depuis qu’il était suivi en fasciapulsologie.
La souffrance qui est le résultat de nos blocages empêche de voir avec justesse ce qu’il y a autour de soi. Elle nous oblige à nous recroqueviller. La fasciapulsologie permet à la fleur de lotus qui est en vous de s’épanouir dans l’environnement contraignant qui est le votre.
stef
OUI !!! la fasciapulsologie permet de s'ouvrir telle cette fleur. De ne pas craquer sous les tensions, de trouver un point d’équilibre face aux diverses difficultés de la vie.

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