Ô jeune Diane déesse de la beauté
Que ne ferais-je pour vos belles
vertus
Dans ce jardin d’Eden, allongée nue,
Sous le regard d'un millier d’égarés ?
Vous, qui hantez mes rêves sans les voir Vous, pour qui je laisserai tout choir
Croyez en ma sincère vérité
D’un amour pour l’éternité.
Ô ma douce d’un soir printanier,
Moi qui vous trouve si belle
Comment vous rendre éternelle
Je vous aime, comment le nier ?
Vous, dont les lumières sont roses
Vous, qui scintillez en toutes choses
Comment vous quitter sans briser
Cette jouissance que j’ai adorée ?
A vos pieds je déposerai mon ivresse,
Voltigerai sous
l’élan de vos caresses,
Délices inondés de
tous mes plaisirs Linceul parfumé de tous mes désirs.
AURORE