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Il y a des limites à appliquer les règles du IAB

Publié le 06 mai 2009 par Yannick Manuri

Cette semaine, un éditeur avec lequel j’ai conclu une entente basée sur un achat d’inventaire invendu (à rabais) m’avise que si je ne lui remets pas le matériel dans un délai de 5 jours avant le début de la campagne (selon le contrat) que je serai pénalisé pour mon retard.

Pour ceux qui n’étaient pas encore au courant, depuis 1er mars 2008, IAB Canada (Internet Advertising Bureau) a officiellement normalisé les modalités et politiques sur les documents créatifs en retard pour la publicité sur Internet pour les achats dans les médias.

La raison essentielle de ces nouvelles politiques: les annonceurs sont très souvent en retard dans la remise du matériel publicitaire et les campagnes sont souvent repoussées, ce qui peut provoquer des pertes financières pour le média qui a dû réserver un inventaire qui finalement sera invendu.

En gros, si vous êtes en retard et n’avisez pas le média dans un délai raisonnable (5 à 10 jours), ce dernier se réserve le droit de vous pénaliser financièrement.

Je suis d’accord avec cette nouvelle politique. Il y a beaucoup d’abus. Mais il y a des limites à appliquer ces règles.  Soyons logiques et compréhensifs.

J’en reviens pas encore ! Plus de 400 millions d’impressions publicitaires disponibles par mois et pénalisé pour un retard d’achat d’inventaire invendu (les restants) et qui restera invendu.

À mes amis éditeurs qui me lisent, svp expliquez-moi. Je suis ouvert à la discussion. Je cherche à comprendre.


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