Aujourd'hui, les terrasses de café, les rues, les magasins de la ville résonnent de leur accent américain : « Parfois, on sait qu'on agace un peu, et quand il y a un tiers avec nous, on reparle français pour ne pas qu'il se sente isolé, mais ce n'est pas de la frime. C'est vraiment pour nous entretenir et progresser chaque jour davantage », martèlent Dan et Jack.
Progresser dans la maîtrise du français ne serait pas un luxe non plus.