semble voué à subir une hémorragie de points de fixation d’un radicalisme éperdu. Les secteurs fragilisés déversent de nouveaux inactifs si prompts à descendre leur ex exploiteur qui les a libérés de leur labeur.Le décompte médiatique de ces abcès incite à la surenchère concurrente. L’inertie du système sauvegardera-t-il l’essentiel de notre mode de vie, au grand dam des aspirants révolutionnaires ? La voie mondialiste peut-elle se concilier avec l’irrésistible
conservatisme de ceux des pays riches qui sentent leurs modestes acquis leur échapper pour rémunérer de plus pauvres qu’eux ?Les mutations, intolérables pour les sacrifiés désignés, s’accélèrent d’autant plus que le marché des échanges se libéralise, c’est-à-dire favorise les libertés, quitte à bouleverser l’ordre Nord-Sud établi…
L’impossible conciliation des intérêts aspirés par la gloutonne globalisation entretiendra ces soubresauts sans cohérence.
