(Source : Le Dauphiné Libéré - Colette LANIER)
Attendre que rentre un papa, un mari ou un fils à la maison après son travail, c’est facile. Mais quand ce dernier est à la guerre, l’attente devient une autre histoire. C’est ce qu’ont vécu de nombreuses familles du 27e BCA.
Comment ont-elles ressenti cette veille, devenue encore plus pesante après la mort du caporal Nicolas Belda, tombé sous les balles. C’était le 14 mars. Et depuis, les familles comptent les heures.
Ce qui manque le plus aux enfants ? Les bisous de papa avec qui ils rêvent de pique-niquer au bord du lac (…)

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Extrait de “Zone Interdite” (M6)
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