
Or pour Nathan, il est primordial que le marché conserve la protection qu'il assure tant aux auteurs qu'aux éditeurs, même si les libraires sont quelque peu lésés et les consommateurs eus... So prédécesseur au poste, Bob Carr, avait toujours eu cette optique, jusqu'au moment où il a intégré le bureau de Dymocks, libraires en vue du pays.
Et Nathan estime que cette nouvelle position ne peut pas arriver à pérenniser le marché sans qu'il soit mis en péril. En outre, les intervenants présents durant cette conférence ont ajouté que les conditions d'ouverture n'étaient pas particulièrement à destination du public, mais des grandes compagnies qui pourraient s'ouvrir un commerce plus vaste.
Et de citer l'exemple de la Nouvelle-Zélande qui a ouvert son marché et se retrouve aujourd'hui avec des prix bien plus élevés sur les livres. En attendant la décision de la commission sur la productivité le 30 juin prochain, les tenants et les opposants de cette ouverture n'ont pas fini de faire des bonds...