Lefebvre, le perroquet institutionnel.

Le petit Frédéric… ou la voie de son Maître.

Il peut être permis de penser que nos amis blogueurs font un peu trop de publicité à ce serpent à sornettes qu’est le porte-parole de l’UMP, lobbyiste à ses heures perdues¹, qui sait donc très bien ce qu’il fait et dans quel sens tourne le vent de l’opinion, pour tenter de le détourner à son profit, et à celui du parti qu’il soutient… de plus en plus à droite de la droite pour des raisons machiavéliquement électoralistes. Et d’autres moins avouables, plus prosaïquement élitistes : profiter du pouvoir pour apporter le maximum d’avantages à ceux qu’il soutient : les plus riches. Car en effet, à qui pourrait donc profiter le fait de travailler pendant un arrêt maladie ? Sinon à ceux qui les emploient… De la même façon, toutes ces réformes de ces deux dernières années qui profitent sans cesse et toujours dans le même sens du vent – nauséabond- aux employeurs sans morale… autre que celle du profit à tout prix. Même celui de la misère des autres, peu leur chaut.

Il est des gens comme cet énergumène si détestable (on se demande même s’il ne fait pas un peu exprès et n’en tire pas une certaine jubilation) qui gagneraient à être ignorés, appliquant un peu trop le dicton populaire démagogique des publicitaires en mal de notoriété : « dites du bien, dites du mal, mais surtout parlez de moi »… Cousin d’un autre, autrefois borgne, usant des mêmes pratiques, qui a passé le flambeau de l’intolérance à sa fille si blonde… au même visage si délicieusement carré, d’une féminité de catcheur.

Après ce petit écart de conduite (je m’étais efforcé jusqu’à présent de ne pas évoquer ce personnage qui m’inspire tant de mépris, sentiment peu louable pour un humaniste), je vais tenter, promis, de passer à des sujets plus sérieux que ce pisse-froid qui ne sert qu’à jouer les paratonnerres de son ami si petit. Et bien plus dangereux…

Résistance !

¹ Il n’est pas anodin de préciser qu’il a en effet créé une société de lobbying avec deux anciens attachés parlementaires de son ami Estrosi, liée entre autres aux industries du tabac, de l’alcool et des casinos… Monsieur Lefebvre a donc une certaine cohérence,e t toujours la même morale, c ‘est à dire aucune. Même le nom de cette brave firme fleure bon sa dose de cynisme : Perroquet institutionnel communication (Pic conseil), devenue aujorud’hui après fusion » Domaines publics »… Toujours avec le même humour. Noir.