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Parlant de come-back… La Danseuse

Publié le 29 mai 2009 par Dateurenserie

Un peu décalé dans mes histoires, j’en conviens, mais mardi soir, j’ai vu, La Danseuse. Ouf ça en fait de la virgule. Overdose de ponctuation. Je reviens je vais aller me faire vomir. Bon voilà qui est fait. La Danseuse, oui!

- Allo, je fais rien, tu viens tu me voir?
- Oui

Tsé, quand c’est pas compliqué! Et dieu sait que les moments pas compliqués avec elle sont une denrée rare, alors j’en profite quand ils passent!

Avec elle, c’est du flirt constant. Même quand on parle de température, on se cruise. “Faut beau dehors! Oui oui comme toi! Fait chaud… comme toi au lit!”. Bon pas aussi quétaine, mais presque. Cette fille est de plus en plus belle au fur et à mesure que je la vois. Elle a un corps de danseuse de baladi incroyable. Ses cheveux sont courts et ne sont jamais peignés. Ou peignés de façon à ce qu’on croit qu’elle vient de se réveiller. Mais c’est beau. Sur elle, c’est beau, n’essayez pas ça à la maison. C’est une pro.

Nous sommes allés manger au Normandin, et elle m’a fait manger mon dessert en faisant le petit train ou l’avion. Mignon? Non quétaine. Mais quand on veut, le quétaine est mignon. C’est relatif. C’est Einstein qui me l’a dit.

En allant la reconduire chez elle, on s’est embrassé. On s’embrasse vraiment bien. Tranquillement, doucement. En laissant monter le plaisir du baiser. Plus amusant que de se faire attaquer la bouche en profondeur par une langue gluante et sans expérience. Avec elle, chaque baiser est un « Je te veux dans mon lit » écrit en grosse lettre.

Mais ça ne débouche pas. On se voit une fois par 3 mois. Elle change de plan de vie comme d’autre change de petite culotte. On parle ici des gens propres qui les change quotidiennement. Il y a un mois elle m’a dit qu’elle avait enfin quitté Montréal, cette ville laide selon ses mots. Mardi, elle me disait qu’elle y retournait puisque qu’elle se sent chez elle uniquement dans la métropole. Elle s’est inscrite à l’université. Dans un mois ça va être autre chose.

Mais c’est amusant, j’ai l’impression de ne jamais dater la même fille… mais c’est toujours La Danseuse.

D.


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