Principales formes de dysfonction sexuelle masculine
La dysfonction érectile. La dysfonction érectile (ou trouble de l'érection) ne doit pas être confondue avec la panne érectile isolée ou occasionnelle qui, bien que souvent vécue de manière gênante, ne constitue pas une maladie ou un trouble qui justifierait une médicalisation et devrait être perçue pour ce qu'elle est : normale. La grande majorité des hommes connaissent un jour ou l'autre de tels épisodes sans que leur vie ou celle de leur partenaire n'en soit pour autant gravement perturbée. On peut diagnostiquer une dysfonction érectile lorsque s'installe une incapacité répétée (depuis au moins trois mois) d'avoir une érection ou de la maintenir convenablement durant le coït. Elle touche environ 20 % des hommes âgés de 50 à 59 ans, une proportion qui augmente avec l'âge et la maladie. Notons que dans la majorité des cas, la dysfonction érectile n'arrive pas soudainement, mais s'installe peu à peu.
Une référence importante pour les médecins et les sexologues est la Massachusetts Male Aging Study, une étude de cohorte réalisée de 1987 à 1997 avec la participation de 1 709 Américains âgés de 40 ans à 69 ans32. Par l'observation de l'état de santé et des habitudes de vie des sujets, des chercheurs ont pu cerner plusieurs facteurs qui augmentent le risque de dysfonction érectile. La plupart du temps, plus d'un facteur serait en cause. Voir les sections Personnes à risque et Facteurs de risque.
Les troubles du désir sexuel. Autrefois exclusivement associée aux femmes, la panne du désir touche tout autant les hommes. Il peut s'agir d'un trouble primaire, dans le cas d'un homme dont on dirait qu'il n'a jamais été porté sur la « chose », ou secondaire, dans le cas d'une diminution épisodique du désir sexuel. Il peut également s'agir d'une baisse de la libido qui ne concerne qu'un partenaire spécifique (la conjointe, par exemple) tandis qu'avec d'autres, le désir semble s'activer normalement.
Une infinité de facteurs peuvent nuire au désir sexuel. La culture, les valeurs, la situation économique et le contexte social en sont quelques-uns. En fait, un véritable trouble du désir est diagnostiqué lorsque la baisse de libido survient sans raison apparente. En général, les facteurs impliqués dans la dysfonction érectile peuvent aussi altérer le goût pour l'activité sexuelle. Voir les sections Personnes à risque et Facteurs de risque.
L'éjaculation précoce. On peut diagnostiquer ce trouble sexuel lorsque, de manière systématique et incontrôlée, l'homme éjacule à la moindre excitation, souvent même avant d'avoir pénétré sa ou son partenaire. Encore une fois, cette situation peut se présenter à l'occasion chez un homme normal et en bonne santé; il arrive à la plupart des hommes, un jour ou l'autre, d'éjaculer avant le moment où ils l'auraient souhaité. Chez l'éjaculateur précoce, le phénomène n'est pas occasionnel, il constitue plutôt une constante, un modèle comportemental exclusif. Ce trouble sexuel toucherait plus de 35 % des hommes, ce qui en fait le trouble sexuel le plus fréquent33.
Tandis que dans les dernières décennies, la tendance était d'expliquer l'éjaculation précoce avec des hypothèses psychologiques (l'homme est anxieux ou tendu et craint d'être surpris), les dernières recherches scientifiques permettent d'affirmer que dans la majorité des cas, l'éjaculation précoce est aussi liée à des problèmes physiologiques (une hypersensibilité de la peau du pénis ou des dommages au système nerveux causés par le diabète).
N.B. Outre l'éjaculation précoce, il existe d'autres troubles de l'éjaculation, qui sont beaucoup plus rares. Mentionnons par exemple l'éjaculation retardée, où l'homme éprouve de la difficulté à éjaculer ou y parvient seulement si le coït est très long.
La maladie de La Peyronie. Décrite pour la première fois en 1743 par le chirurgien français François de la Peyronie, cette maladie qui touche environ 1 % des hommes se caractérise par une difformité du pénis en érection, ce qui peut être douloureux pour l'homme et l'empêcher (totalement ou en partie) d'avoir des rapports sexuels normaux. Cette maladie peut, dans certains cas, entraîner une dysfonction érectile. Elle est généralement consécutive à une blessure qui provoque des adhérences dans les tissus péniens. Les troubles peuvent être, suivant les cas, de nature provisoire ou permanente.
La sexualité avec l'âge
Cela peut être rassurant de savoir que pour la majorité des gens, tous les mécanismes physiologiques pour atteindre la satisfaction sexuelle sont présents, peu importe l'âge. Qui plus est, être actif sexuellement contribue à une bonne santé physique, ce qui augmente la longévité! Seulement, le couple traversera parfois une période d'ajustement (souvent aux abords de la retraite), où de nouveaux moyens de vivre la sexualité seront explorés. Avoir des attentes irréalistes peut entraver cette recherche. Sachons qu'il est normal qu'avec l'âge : l'intensité des sensations et de l'orgasme soit moins puissante; le pénis en érection soit moins rigide et moins élevé; et que l'excitation sexuelle arrive plus lentement et demande une stimulation plus directe de la part de la (ou du) partenaire.
Symptômes
Dysfonction érectile
- Une incapacité ou une difficulté constante d'avoir une érection.
- Il y a une érection, mais le pénis n'est pas assez ferme pour permettre la pénétration.
- Une incapacité de maintenir une érection après la pénétration.
- Une incapacité de maintenir assez longtemps une érection, ce qui empêche l'atteinte de l'orgasme.
Troubles du désir
Une disparition inexpliquée et prolongée du désir sexuel.
Éjaculation précoce
L'éjaculation survient systématiquement après tout au plus une dizaine de mouvements de va-et-vient, avant que l'un ou l'autre des partenaires ne le souhaite, ou même avant la pénétration.
Maladie de La Peyronie
Une déviation ou une difformité du pénis au moment de l'érection.
Personnes à risque
Dysfonction érectile et troubles du désir
Troubles physiques
- Les hommes âgés de plus de 50 ans sont les plus atteints de dysfonction érectile, bien qu'elle puisse se manifester à tout âge. Même s'il est normal qu'un homme vieillissant soit moins porté sur les ébats sexuels, il n'en demeure pas moins qu'un sujet en bonne santé peut demeurer actif sexuellement jusqu'à un âge avancé. On a pu observer une appréciable verdeur chez des hommes de plus de 80 ans.
- Les hommes souffrant de diabète, la cause la plus fréquente des troubles érectiles puisque l'excès de sucre dans le sang porte atteinte aux composantes vasculaires, neurologiques et hormonales de l'érection. Un bon contrôle de la glycémie peut prévenir ou limiter les dommages (voir la fiche Complications du diabète).
- Les hommes souffrant de troubles cardiovasculaires, comme un durcissement des artères, de l'hypercholestérolémie, un accident vasculaire cérébral ou de l'hypertension.
- Les hommes atteints d'hypogonadisme : un trouble hormonal qui engendre une carence en androgènes, ces hormones responsables de l'émergence des caractères sexuels masculins. Chez les personnes atteintes, on observe parfois une diminution notable de la pilosité ou du volume des testicules.
- Les hommes ayant subi une lésion à la moelle épinière. Par exemple, une lésion à la hauteur du cou peut altérer l'érection psychogène (qui concerne des émotions, donc le cerveau), sans nuire à l'érection réflexe (un phénomène purement mécanique et incontrôlable, traité dans un centre réflexe situé au bas du dos). Les troubles seront temporaires ou permanents, selon la gravité de la lésion.
- Les hommes atteints d'insuffisance hépatique ou rénale.
- Les hommes atteints de la maladie de la Peyronie, d'une complication du priapisme ou d'une malformation congénitale causant un état anormal du pénis.
- Les hommes souffrant de la maladie de Parkinson ou de la sclérose en plaques, des affections qui altèrent les fonctions neurologiques, essentielles à l'érection.
- Les hommes souffrant d'obésité.
- Les hommes qui prennent des médicaments ou qui suivent des traitements.
- Les hommes qui prennent des médicaments qui nuisent à la circulation sanguine dans le pénis ou aux taux de testostérone dans le sang (par exemple, les antidépresseurs, des médicaments qui baissent la pression artérielle, les tranquillisants). S'informer auprès de son médecin.
- Les hommes qui ont subi des traitements de radiothérapie aux testicules.
- Les hommes qui ont subi une chirurgie lourde, notamment à la suite d'un cancer de la prostate.
Éjaculation précoce
- Les hommes qui présentent une hypersensibilité de la peau du pénis.
- Les hommes dont le système nerveux est atteint, par exemple en raison du diabète (neuropathie).
Maladie de La Peyronie
Les hommes qui ont subi une blessure au pénis.
Facteurs de risque
Dysfonction érectile et troubles du désir
Troubles psychologiques
- L'anxiété de performance, provenant, par exemple, d'une nervosité vis-à-vis des relations sexuelles, de mauvaises expériences antérieures ou de la peur de l'échec.
- Le stress causé par des inquiétudes liées au travail, à la famille, aux difficultés financières, etc.
- Des conflits non résolus avec la ou le partenaire, ou une insatisfaction dans la relation.
- La dépression, qui a souvent pour effet de couper l'appétit sexuel.
- Le silence et le tabou qui entourent la sexualité peuvent engendrer une certaine ignorance ou encore des croyances inappropriées.
- Une homosexualité « latente » ou non reconnue.
Habitudes de vie
- L'usage abusif d'alcool ou de drogues.
- Le tabagisme.
Éjaculation précoce
L'anxiété, la tension nerveuse.
Prévention
Les dysfonctions sexuelles étant souvent causées par des troubles de la circulation sanguine, il sera important de limiter les facteurs de risque des troubles cardiovasculaires en veillant à maintenir un taux de cholestérol total bas, ainsi qu'une bonne proportion de « mauvais » cholestérol (LDL) par rapport au « bon » cholestérol (HDL). De la même manière, les hommes qui souffrent d'hypertension artérielle devraient se faire traiter, tandis que ceux qui ont le diabète devraient veiller à maintenir leur glycémie aussi près que possible de la normale.
Conseils généraux pour une bonne santé physique
– Limiter la consommation d'alcool.
– Cesser de fumer (voir la fiche Tabagisme).
– Faire de l'exercice régulièrement.
– Veiller à bien gérer son stress et à diminuer les sources de stress.
– Dormir suffisamment.
– Soigner la dépression et l'anxiété.
– Visiter son médecin régulièrement pour des tests de routine.
Cela dit, puisque les dysfonctions sexuelles dépendent non seulement de facteurs physiques, mais aussi psychologiques, toute personne qui souhaite agir en prévention se doit de ne pas exclure les facteurs de santé émotive et relationnelle. Ainsi, une sexothérapie pourrait être indiquée en cas d'inquiétudes ou de malaises avant que ne surviennent les difficultés sexuelles. Demander l'avis d'un médecin. Consulter aussi notre dossier Le sexe, c’est la santé.
Traitements médicaux
Dysfonction érectile
La plupart des hommes traités pour une dysfonction érectile parviennent à retrouver une sexualité satisfaisante. Pour ce faire, la ou les causes du dysfonctionnement ainsi que les facteurs de risque doivent être identifiés par un médecin. Le traitement requiert souvent une modification de certaines habitudes de vie, une médication et une consultation avec un sexologue (voir plus loin Sexothérapie).
Sildénafil (Viagra®) et autres IPDE-5. Depuis la fin des années 1990, le traitement le plus populaire est sans contredit l'administration par voie orale d'inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (IPDE-5) - sildénafil (Viagra®), vardénafil (Levitra®) et tadalafil (Cialis®) - une classe de médicaments d'ordonnance qui maintiennent la dilatation des vaisseaux sanguins du pénis (plus spécifiquement, les IPDE-5 empêchent la dégradation des substances chimiques nécessaires à la dilatation des vaisseaux sanguins). Un comprimé doit être pris à jeun environ une heure avant l'activité sexuelle, et son effet dure en moyenne quatre heures (l'érection ne dure pas quatre heures, mais le médicament permet une fenêtre d'action de quatre heures durant laquelle on peut avoir une ou plusieurs relations sexuelles). Le tadalafil quant à lui peut être pris de 30 minutes à 12 heures avant l'activité sexuelle, et son effet persiste de 24 à 48 heures après son ingestion. Notons que les IPDE-5 ne sont pas des aphrodisiaques et que la stimulation sexuelle est nécessaire pour que le médicament agisse. Ces médicaments seraient efficaces dans 80 % des cas, mais le sont moins en cas de maladie chronique comme le diabète.
Ce type de médicament présente l'inconvénient d'interagir avec d'autres médicaments et de causer une baisse de la tension artérielle, notamment chez les personnes qui prennent des médicaments pour le traitement des maladies cardiaques (dont la nitroglycérine).
Contre-indications :
- Les hommes qui prennent de la nitroglycérine ou des nitrates (cela risque de causer une chute de tension potentiellement mortelle).
- Les hommes qui ont une insuffisance cardiaque qui les empêche d'avoir des rapports sexuels normalement.
- Les hommes qui souffrent d'hypotension au repos.
- Les hommes atteints d'une rétinite pigmentaire, une maladie héréditaire qui touche la rétine de l'oeil.
Yohimbine. Avant la récente vogue des IPDE-5, c'est la yohimbine qu'on prescrivait aux hommes qui souffraient de dysfonction érectile. Il s'agit en fait d'un extrait normalisé tiré de l'écorce du yohimbe, un arbre originaire d'Afrique. Son action pharmaceutique, de même que les effets indésirables et les contre-indications qui y sont associés, ressemble à celle des IPDE-5. Bien qu'on n'ait mené aucun essai clinique comparatif, on pense, en général, que la yohimbine est moins efficace que les IPDE-5, mais que son emploi comporte moins de risques7,8. Par ailleurs, la yohimbine coûte beaucoup moins cher que les IPDE-5.
Traitement transurétral. Dans les cas où les IPDE-5 sont inefficaces ou lorsque leur emploi est contre-indiqué, le médecin peut prescrire des substances vasoactives que le patient apprend à s'administrer lui-même dans le pénis une vingtaine de minutes avant l'activité sexuelle. Ces médicaments sont parfois administrés sous la forme de mini suppositoires à introduire dans le méat urinaire. Les hommes abandonnent souvent ce type de traitement en raison des difficultés d'administration. En outre, il est efficace dans seulement 40 % des cas. Il importe également que le dosage soit bien adapté au sujet afin d'éviter le priapisme (Maintien anormal d'une forte érection durant plus de quatre heures, non provoquée par l'excitation sexuelle. Son traitement constitue une urgence médicale.).
Injections péniennes. Ce traitement d'ordonnance, disponible depuis le début des années 1980, consiste à s'injecter un médicament (l'alprostadil, la papavérine ou la phentolamine, ou un mélange des trois) sur le côté du pénis. Ces médicaments agissent en relâchant les muscles du pénis, ce qui augmente l'afflux de sang, et cela, en moins de 15 minutes. Ici, la rigidité est atteinte même en l'absence de stimulation sexuelle, et dure en moyenne trente minutes. Peu populaire en raison de son mode d'administration, ce traitement est tout de même efficace chez 85 % des hommes.
Dispositifs et prothèses péniens. Si les nerfs érectiles sont détruits ou endommagés (à la suite d'une intervention chirurgicale, pour un cancer de la prostate par exemple), on aura recours à certains dispositifs mécaniques. Ainsi, la pompe à dépression, encore appelée vacuum, crée un vide dans un cylindre en plastique placé autour de la verge, ce qui entraîne une érection, qui est maintenue grâce à un anneau élastique de compression glissé à la base du pénis. Il existe également divers types de prothèses péniennes qui nécessitent l'implantation permanente dans le pénis de tiges flexibles ou de dispositifs analogues. Les modèles les plus récents comportent des tiges gonflables activées par une petite pompe commandée par un interrupteur placé dans le ***. La compression du *** entraîne l'érection du pénis.
Trouble du désir
Une fois les causes physiques et les facteurs de risque pris en compte (la perte de désir peut être liée à un problème de santé, comme de l'hypogonadisme - des hormones de remplacement sont prescrites dans ce cas), la thérapie classique consiste en un programme de consultations auprès d'un psychologue ou d'un sexologue au cours desquelles on tentera de cerner les blocages dans le but ultérieur d'adopter les attitudes et comportements permettant de les surmonter. Voir Sexothérapie ci-dessous.
Éjaculation précoce
On a généralement recours aux services d'un psychologue ou d'un sexologue qui utilise des techniques de counseling et de thérapie comportementale. On fera pratiquer au sujet et à sa (ou son) partenaire diverses méthodes de relaxation et de maîtrise de soi, notamment par des exercices respiratoires visant à diminuer la rapidité de la montée de l'excitation sexuelle; on pourra enseigner la technique du squeeze (compression au niveau du gland ou de la base de la verge) ou la rééducation périnéale par les exercices de Kegel, une technique qui permet au sujet de repérer le « point de non-retour » et de contrôler le déclenchement du réflexe éjaculatoire. Pour ce faire, il s'agit de contracter les fesses et l'anus pendant dix secondes, et de répéter l'exercice une quinzaine de fois, deux à trois fois par jour.
Sur le plan pharmacologique, l'emploi de crèmes anesthésiantes aura pour effet de réduire la sensibilité tactile du pénis, ce qui peut aider à retarder l'éjaculation. Dans ce cas, le port du condom est préférable afin de ne pas insensibiliser le vagin et de favoriser l'absorption de la crème. Certains hommes parviennent à retarder le moment de la jouissance en utilisant le condom seul, sans crème anesthésiante. De la même façon, divers types d'antidépresseurs (à faible dose) et d'alphabloquants ont pour effet secondaire de retarder l'éjaculation, mais ils peuvent également causer une dysfonction érectile.
Maladie de La Peyronie
Dans certains cas, les troubles disparaîtront d'eux-mêmes sans traitement. Dans d'autres cas, il sera nécessaire de procéder à une intervention chirurgicale pour redresser le pénis. Les activités sexuelles peuvent reprendre quatre semaines après l'intervention.
Sexothérapie
Lorsqu'un médecin soupçonne que des facteurs psychologiques sont impliqués dans l'un ou l'autre type de dysfonction sexuelle, il conseillera à son patient de consulter un sexologue. Celui-ci pourra intervenir dans le cadre de séances individuelles ou de couple (la participation de la conjointe ou du conjoint est souvent un gage de succès), au cours desquelles il tâchera de découvrir les blocages de même que les attitudes et les comportements qui pourront aider à les surmonter. On dénombre cinq approches principales en sexothérapie :
- la thérapie cognitivo-comportementale, qui vise à briser le cercle vicieux des pensées négatives à l'égard de la sexualité en décelant ces pensées et en tentant de les désamorcer;
- l'approche systémique, qui se penche sur l'interaction des conjoints et leur effet sur leur vie sexuelle;
- la sexoanalyse, qui tente de résoudre des conflits intérieurs à l'origine des problèmes sexuels en analysant l'imaginaire et les fantasmes érotiques;
- l'approche existentielle humaniste, où on amène la personne à découvrir ses perceptions de ses difficultés sexuelles et à mieux se connaître;
- l’approche sexocorporelle, qui tient compte des liens indissociables corps – émotions - intellect, et qui vise une sexualité satisfaisante tant sur le plan personnel que relationnel.
Bonne journée,
Marie claude
ref: Passeport.sante.net