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Parti Québécois' new strategy puts independence on hold/ Nouveau plate-forme du Parti Québecois met la souveraineté en suspense

Publié le 01 juin 2009 par Allpeopleunite
The Parti Québécois has unveiled its new sovereignty platform which instead of outright independence, or even a sovereignty association, has adopted some-what adéquiste autonomist proposals for patriating certain powers to Québec. These include measures in the areas of culture, taxation (including the monumental historical injustice of Québécois having to file TWO!!!!! separate tax return) and agriculture among others.
This is a pure abandonment of the independence movement of which the Parti Québécois claims to be leader. The betrayal of the hopes of millions of Québécois for sovereignty is a demonstration of the real aims of the Parti Québécois, which is to find a reasonable accommodation for the native Québécois bourgeoisie within the Canadian confederation.
The party leaders and policy makers are following the political tradition of incompetence and divisiveness in political affairs. The only true gestures for sovereignty on the part of the PQ has been the projects for a Québécois Constitution and Citizenship. One must admit that at first the proposals seemed progressive and a good idea, however in hindsight it is clear that these policies serve only to further the nationalistic agenda of the Parti Québécois, seeking to enforce upon the people of Québec what they think the Québécois want, as per usual.
The only real way for true independence of Québec from foreign dominance and imperialism is for a nation-wide (that is Canadian-wide) fight for socialism where no nationality will be subject to the will of another. If the Québécois people do choose independence, that is their right. But it should be said that Québec will not be free on a capitalist basis, and that on a socialist basis the workers of Québec would probably see far more in-common with the Anglophone workers around them in the ROC and the United States than they do with their native bosses and capitalists and would see the benefits of a free union of Socialist Republics.
Et en français:
Le Parti Québécois a dévoilé son nouveau plate-forme souverainiste qui, au lieu d'une geste vers l'indépendance, ou même moins une association-souveraine, il a choisi un série de proposes autonomistes (à l'ADQ) pour faire la répatriation des certains pouvoirs au Québec. Les plans inclurent mesures dans l'arène de la culture, les impôts (ça inclut l'injustice historique monumentale que les Québécois doivent remplir DEUX différentes formes pour faire les impôts) et l'agriculture, parmi les autres.
Cela est une pure abandonnement du mouvement indépendantiste, le même mouvement de qui le PQ prétend à être leader. La trahison de l'espoir des millions des Québécois pour la souveraineté est une démonstration claire des vrais intérêts du Parti Québécois, qui recherche un accommodement plus raisonnable parmi la confédération canadienne.
Les dirigeants du Parti et les apparatchiks de politique suivent la tradition politique d'incompétente et réfractaire dans les affaires du groupe. Les seuls vrais gestes vers la souveraineté du PQ étaient les projets pour la constitution québécoise et la citoyenneté québécoise. Il faut qu'on admis qu'à première voie les proposes paraissaient progressive et de bonnes idées. Or, rétrospectivement il est clair que la politique sert seulement pour avancer l'agenda nationaliste du Parti Québécois, comme d'habitude, essayent d'exclure et de renforcer les valeurs et la politique que les leaders croient que sont voulus par le public.
Le seul chemin pour un véritable indépendance du Québec de la dominance étrangère et l'impérialisme est une lutte unie des peuples du Canada, sans égard à leur nationalité ou origine ethnique pour le socialisme, pour une société où aucune nationalité sera subjuguée à la volonté d'un autre. Si les Québécois choisissent l'indépendance, cela est leur droite.
Or on devrait dire que le Québec libre ne sera pas s'il est bâti sur une base capitaliste, et plus, dans une société socialiste les Québécois préféraient probablement une fédération volontaire avec ses compatriotes anglophones au Sud, Est, et Ouest.

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