General Motors, symbole de la puissance automobile américaine n’est plus. La grande entreprise « GM » qui faisait vivre des villes entières comme Detroit a fait faillite, reprise in extremis par le gouvernement américain.
L’heure est désormais aux comptes, et dans ce secteur là, tout le monde ne pourra pas être servis, les créanciers trépignent donc d’impatience pour se faire payer.
Ils sont beaucoup à dépendre de la GM, pour des contrats, au premier rang les fournisseurs équipementiers dont beaucoup risquent de ne pas résister à la faillite de l’entreprise mère.
Sur la liste des créanciers communiquée lundi au tribunal des faillites de New York – publiée par Les Echos - figure tout le gotha des équipementiers : Delphi, l’allemand Bosch, Lear, Johnson Controls, le japonais Denso, TRW Automotive, le canadien Magna, repreneur d’Opel, pour ne citer que les principaux. Au total, ce sont plus de 1500 équipementiers dont les salariés vivent désormais dans l’angoisse. Depuis le début de l’année, déjà 40 fournisseur
L’onde de choc pourrait également être très dur pour un pays : le Japon. Là-bas, ce sont près de 133 entreprises qui risquent de fermer et de déstabiliser profondément le pays déjà en récession.
Mots-clefs : 76, angoisse, conflict, conflit, créanciers, crisis, Delphi, Detroit, economie, europa, Europe, fabius, fournisseurs équipementiers, gauche, General Motors, GM, gouvernement américain, hyper-président, Johnson Controls, l'allemand Bosch, le canadien Magna, le japonais Denso, Lear, Les Echos, manifestants, MJS76, monde, obama, Opel, otan, Panne totale chez General Motors (USA), paris, parti socialiste, politique, presse, ps, ps76, récession, seinomarin, socialist, sous-traitants, symbole de la puissance automobile américaine, tribunal des faillites de New York, TRW Automotive
Blog 76 PS | rss
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble