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la mort et l'amour

Par Plouf
rien, rien n'est plus fort que la mort,
quand tu t'enfonces et le noir t'envahit,
que les voix de tes proches  résonne encore,
te disent de venir, de lutter , ils sont ici,
les voix de tes ancêtres, de ceux qui sont partis,
ils te parlent t te disent qu'ils sont tes amis,
ta mère, un oncle, ou un ami sincère,
dix ans, vingts ou quelques mois à peine,
tu suis ce long chemin pour suivre ta voix,
sans savoir où aller ni comprendre tout çà
malgré les pleurs des viants qui assaillent et te touchent
veulent que tu te reviennes et te touchent la bouche,
d'un baiser millénaire d'amour et de passion,
tu hésites et tu restes partagé sans rien faire,
serais-ce donc à toi de gérer ces affaires?
toi qui est enfoncé et a perdu la lutte,
malgré les per fusions , prélèvementgs sanguins,
tu cheches la lumière qui peutr arriver brut,
et te bruler les yeux comme tout petit ren,

les messages portés et les actions en chaine,
téléphoner à tous pour reprendre contact,
savoir que même la mort pésera sur leurs actes,
qu'ils rfusent ezncore et refusent toujours,
qu'ils ont perdu le sang qu'on appelle l'amour;
et toi sitôt levé, six heures au petit jour,
tu penses à la vie tu penses  l' amour,
tu veux voir les tiens ceux qui sont là toujours,
mes amis je reviens oui là au petit jour,
mes jambes ne me portent encore un peitit tour,
aides moi ma chérie, aides moi mon amour,
j'ai trop besoin de toi et pour là chaque jour,
être enfin avec toi mon vértable amour!

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