Quelques brèves pour le début de la semaine.
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Changement climatique: un rapport sceptique de référence -- Le second rapport du NIPCC, parfois appelé "Anti-GIEC", vient de paraître. 860 pages de sysnthèses de rapports scientifiques écrits par 35 chercheurs originaires de 14 pays, compilés sous la direction des professeurs Fred Singer et Craig Idso, sous le titre "Climate Change Reconsidered".
Ce rapport réfute une par une la plupart des affirmations du GIEC, dont je rappelle qu'il est l'organe politique de l'ONU chargé de nous faire admettre que nos rejets de CO2 mettraient en danger la planète, organe dont le rapport annuel est la bible de tous les politiciens qui veulent, à coups de milliards, "faire quelque chose pour sauver la planète".
Si vous n'avez pas le courage de télécharger et de lire les 860 pages (PDF) du rapport, le site propose un court résumé des 9 grands chapitres, et un résumé exécutif (PDF) de 8 pages seulement.
J'ai commencé à parcourir. Le travail est assez impressionnant.
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La question qui tue -- Le réchauffement climatique a-t-il contribué au krach de l'airbus AF447 ?
Egalement lu ici: “A consequence of global warming is that the frequency and severity of such events (severe weather conditions) is higher,” Alexei Kokorin, head of Russia’s World Wildlife Fund’s Climate Program, told RT. “Unfortunately, the risk for airplanes, especially in tropical areas above water, will be higher. This could be difficult for pilots to understand.”
Rappelons que depuis 1998, le climat tend à se rafraichir, et que la température globale du mois de mai 2009 a été supérieure à la moyenne des 40 dernières années de... 0,11°C, au secours, ça brûle !
Visiblement, certains "climatologues" ont surtout le cerveau qui chauffe. Si au moins, par respect pour les victimes, ils pouvaient s'abstenir de lier le moindre évènement désagréable au "réchauffement climatique"...
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Kinenveu, kinenveu ? -- la dette souveraine de la Lettonie a du mal à se placer, ce qui a fait deux lignes dans la presse. La lettonie ? allons bon, il paraît que Jean Luc Mélenchon ne sait même pas où cela se trouve, alors, pensez donc...
Mais d'ici quelques mois, le même titre pourrait concerner... Les USA. Tout de suite plus glamour, non ? En effet, les officiels chinois ont fait passer au patron de la FED de Dallas (une des implantations régionales de la FED) quelques "messages subliminaux" lors de sa visite à Pékin: en substance, ils font part de leur plus vive inquiétude quant aux stratégies de monétisation de la dette annoncées et mises en oeuvre par la FED.
En clair: si les américains continuent leur politique de rachat directs de bons du trésor US par la FED, ce qui revient à rembourser les dettes arrivées à échéance en créant de la monnaie de singe, pardon, par une opération de "quantitaive easing", alors les chinois risquent de cesser d'en racheter un volume conséquent à chaque émission. Non, sans blague ?
Déjà, la remontée des taux des bons à 10 ans et 30 ans montre que la confiance des investisseurs est en train de flancher. Selon l'économiste Norman Palma:
Depuis le 18 mars 2009, le bon de 30 ans est passé très en dessous de sa valeur nominale (100$), à 94 dollars. Jusqu'alors, le bon de 10 ans restait près de sa valeur nominale. Depuis la semaine dernière le bon de 10 ans est passé aussi très en dessous de sa valeur nominale. En ce moment, aussi bien le 10 que le 30 ans sont à peine au dessus de 94 dollars et ce malgré les interventions de la Fed. Rappelons qu'il y a actuellement un peu plus de 7.000 milliards de dollars en bons du Trésor américain contrôles par les banques centrales excédentaires. La Chine détient actuellement plus de 1.600 milliards de dollars en bons du Trésor américain. La grande peur des autorités chinoises est, précisément, l'effondrement de ce marché. Ce qui est dans l'ordre des choses.
On entend beaucoup dire sur les ondes que "la Chine ne peut pas laisser tomber les USA, que si elle cesse de racheter des bons à chaque échéance, alors la chute de valeur des bons qu'elle détient lui fera perdre des sommes énormes.
Foutaises. En cas de panique, les chinois limiteront la casse en abandonnant les treasuries, parce que ce sera pour eux la moins mauvaise des solutions, surtout si ils continuent de se couvrir en or, comme ils ont commencé à le faire. En tout état de cause, à court terme, les taux des émissions américaines vont continuer à augmenter.
Cela me fait furieusement penser à la blague des deux belges qui lavent les carreaux d'un gratte ciel, et qui ont oublié une vitre au 99ème alors que l'échaffaudage est monté au centième. Pour ceux qui la connaissent, celui du dessus, c'est le ministre des finances chinois. Celui qui rigole bêtement en dessous, c'est Tim Geithner...
Pour ceux qui ne la connaissent pas: ce n'est pas possible ? Google it.
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Pourquoi la Russie reste un pays pauvre ? -- Sans commentaire.
A rapprocher du livre d'Hernando de Soto, "Le mystère du capital", qui analyse les conséquences de ce type de parcours du combattant législatif sur l'économie des pays émergents.
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Rions un peu en attendant la fin du monde -- Un peu de novlangue financière pour briller en société:
Ne dites plus : « Je lis tous les jours mon horoscope »
Dites : « J’anticipe la sortie de crise pour l’année prochaine »
Extrait du dernier post de Moneyzine, le seul blog qui peut vous faire rire en vous parlant du FOREX.
Ceci dit, Emmanuel (l'auteur) ne croit pas si bien dire concernant l'horoscope: L'équipe Obama avait édité en Janvier une prévision des niveaux qu'atteindrait le chômage aux USA si le stimulus package était voté, ou pas (pdf, page 5). Sur la courbe en dessous: en bleu, les affirmations de l'équipe Obama en Janvier. En rouge, le taux de chômage réel de Mars à mai :
source
François Mitterrand consultait Elizabeth Tessier. Barack Obama, lui, consulte Christina Romer et Jared Bernstein.
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C'est tout pour cette fois ci. Bonne lecture !
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Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble