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Le MALAISE FRANCAIS

Publié le 17 juin 2009 par Gilles74

LE MALAISE FRANCAIS

Alors  que  nous  sommes  en pleine  crise  sociale  consécutive  à l'apparition  de la  crise  économique,

 alors  que  le  PS  semble  enfin vouloir  se remettre  en ordre  de  route,

cette  fiche la  première  publiée  sur  ce  blog  en novembre 2005 conserve  toujours  son intérêt.

Avant  de  savoir  où  aller  et  comment y aller,

il importe  de  savoir  d'où nous venons 

 et  surtout  d'identifier  les  causes  réelles du blocage  de notre société  française.

 

 

LE MALAISE FRANCAIS


Les Français sont comme ce fou chinois qui observe le doigt du sage quand ce dernier pointe la lune.

Après la publication de deux rapports d'hommes de gauche VEDRINE et jacques ATTALI, qui pousse les Français à ne regarder que le doigt des sages?
Le mécontentement des Français après moins d'un an d'exercice du pouvoir n'est pas étrange mais inquiétant car orchestré par ceux mêmes qui portent une lourde responsabilité dans la situation actuelle du pays.
L'adaptation au réel est un impératif, la misère vécue par plus de 10 millions de français aujourd'hui est la conséquence du manque de courage des politiques qui ont exercé le pouvoir depuis 25 ans.
rappel de la première note publiée sur ce blog en novembre 2005 ( http://presidentielles2007projet.hautetfort.com/ )
20.04.2007

LE MALAISE DES FRANCAIS
depuis la publicationnde cette première fiche sur ce blog, il semble que les problèmes sont maintenant connus de la majorité des français. personne ne peut plus dire qu'il ne sait pas.
le choix que les Français vont faire dimanche prochain va de nouveau surprendre, comme toujours.
C'est de sens de la DEMOCRATIE,,le pouvoir au peuple et le pouvoir du PEUPLE.
17.11.2005
LE MALAISE FRANÇAIS

Eléments de réflexion et d’analyse de la situation du pays dans la perspective d’un nouveau contrat social
Depuis 1995 notre président alors candidat eut l’ingénieuse idée de synthétiser par une phrase le mal vivre que subissait depuis déjà 20 ans le « petit » peuple de France

LA FRACTURE SOCIALE

Satisfaction des intellectuels qui pouvaient alors mettre un nom et conceptualiser avec suffisance une situation diffuse qui frappait insidieusement notre pays.
Nommer ce mal devenait en soi suffisant pour cette infime partie des français que sont les élites.

10 ans se sont déjà écoulés, le mal non seulement subsiste mais empire, si les conséquences sont visibles, si les déchirures de notre société sont des faits acquis, jamais nos élites n’ont su ou voulu donner une explication rationnelle et globale à une situation qui résulte de notre histoire récente des trente dernières années.

Nous sommes depuis 25 ans dans une impasse. Il faudra beaucoup de courage à nos hommes et femmes politiques pour le reconnaître.
IDENTIFIER les causes, EXPLIQUER les raisons qui ont conduit le pays à cette situation n’est pas sans risque pour les leaders politiques, mais n’est ce pas par éthique leur rôle que d’éclairer les décisions mêmes douloureuses qui doivent être prises dans l’intérêt général. De notre NATION ?

La France est toujours un grand pays. Son poids démographique actuel relativise aujourd’hui cette idée, mais il faut se souvenir de l’histoire millénaire de ce peuple pour comprendre sa place si particulière dans l’histoire du monde actuel.
Tous les révolutionnaires se sont réclamés à un titre ou à un autre « du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes »
Pour proposer au pays un nouveau deal social en rupture avec le mensonge et non avec l’esprit des lumières ou des révolutionnaires de1789 (ou de 1848). Il faudra élaborer un objectif commun identifiable par chacun qui puisse comprendre ce qui nous a conduit là où nous en sommes aujourd’hui.

Il est INDISPENSABLE de dresser une situation sans complaisance aucune, qui précise les blocages et les incohérences que vit notre pays avant même de proposer une solution pour y remédier.

Les causes sont multiples et inter agissent entre elles, cependant en se limitant à des faits qui devront être vérifiés nous pouvons dégager plusieurs idées directrices dans la perspective de cette analyse.
FAITS AVERES et à VERIFIER

1/ 25% de la population active française travaille dans la fonction publique
2/ 20% de la population active est inscrite à l’ANPE (10% de chômeurs et 10% sans travail mais non chômeurs au sens de la définition du BIT)
3/ 10% d’une classe d’âge quitte le système éducatif sans maîtriser la lecture et l’écriture (soit 75 000 jeune français qui seront définitivement écartés du marché du travail)
4/ 65% d’une classe d’âge atteint le niveau du bac, mais le nombre de bac ex math élem puis C et enfin S n’a progressé que de moins de 10% en quarante ans.
5/ 10% de la population vit sous le seuil de la pauvreté
6/ Depuis 1982 le déficit annuel de l’état représente 25% de son budget soit près de 50 milliards d’euros actuels. Le pays vit à crédit depuis cette date.
7/ Le déficit cumulé depuis 1982 représente 1100 milliards d’euros

8/ L’intérêt de cette dette représente le deuxième poste budgétaire de l’état chaque année soit environ 40 milliards d’euros.
Nous devons emprunter pour payer les intérêts de la dette sans pour autant les rembourser
9/ La France atteint près de 53% de prélèvements obligatoires, les impôts ne peuvent plus augmenter sans risquer de voir s’expatrier les cadres entrepreneurs et les sièges des entreprises comme le permet la législation européenne (en cours depuis 5 ans à 10 ans, Carrefour à Genève,Air France à genève, Canal à Bruxelles etc....))
10/ La politique du « on ne touche pas aux droits acquis » des années 82 à 1988 a eu pour conséquences une mise en faillite très importante de PME et la mise au chômage de près d’un million huit cent mille employés

11/ Les entreprise Françaises PME et TPE moins de 10 salariés manquent d’encadrement contrairement aux entreprises européennes.
Ces entreprises représentent 96% du tissus des entreprises françaises à ce jour. (moins  de  20  salariés)
12/ Les fonctions publiques territoriale et hospitalière recrutent de jeunes fonctionnaires à bac plus 3 ou 4 pour occuper des postes dévolus à des niveau BEPC sans aucune perspective de carrière
13/ Comparativement aux grands pays occidentaux la France emploi un trop grand nombre de fonctionnaires qui sont de ce fait très mal rémunérés

14/ 50 grandes entreprises françaises réalisent 50% du commerce extérieur du pays, environ 5000 atteignent 90% et 125000 la totalité de nos échanges extérieurs. (dont les 2/3 avec l'Allemagne)
Toute comparaison avec les autre grands pays européens est déplacée

15/ Contrairement aux autres pays européens la France ne dispose d’aucune structure EFFICACE pour accompagner ses PME à l’export
Le rapport d’efficacité de la seule structure existante est de un à cent seulement (alors  que  nous  disposons  de  trois  fois  plus  de  fonctionnaires  qu'en ALLEMAGNE  pour  les  résultats  pitoyables  que  chacun connaît)
16/ Par éthique les fonctionnaires français n’acceptent pas que les services de l’Etat puissent aider des entreprises privées à s’enrichir (ils sont cependant deux fois plus nombreux qu'en Allemagne avec 200 milliards d'euros de Bénéfice et 50 milliards de déficit en France: pourquoi?)
17/ Les différents budgets de la sécurité sociales gérés par les partenaires sociaux institutionnels (syndicats FO puis CFDT en liaison avec le MEDEF absent sont systématiquement en déficit alors qu’ils représentent plus de 130% du seul budget de l’état lui-même en faillite depuis 1982.
18/ A partir de 2006, la première classe d’âge du baby boom 1946 arrivera en retraite soit 960 000 personnes
Le remplacement sera assuré par des classes d’âges qui comptent moins de 750 000 jeunes soit un différentiel de près de 200000 postes libérés chaque année.


La France sortira d’un particularisme depuis 1966 ou mieux 1968 où structurellement l’arrivée massive des classes d’âges nées après guerre voyait arriver 950000 jeunes pour remplacer des classes d’âges de moins de 600000 personnes.
Toutes les statistiques montrent que malgré les créations d’emploi la France a connu structurellement une perte de 150000 emplois par an depuis 1968

19/ La décentralisation conduite en France de 1982 à 1985 a été réalisée avec l’embauche de près d’un million trois cent mille nouveaux fonctionnaires (contrairement aux engagement de Monsieur  DEFERRE qui affirmait cette réforme possible sous enveloppe budgétaire c'est à dire sans aucun recrutement de nouveaux fonctionnaires)

20/ Le volume de l’encadrement de notre population active est d’environ 15% soit pour 25 millions d'emplois soit approximativement 3750000 postes de cadres
21/ Le nombre de postes de cadres proposé annuellement est très inférieur au nombre de diplômes annuels
À partir des 3 750 000 postes définis au paragraphe précèdent, en tablant sur une durée de vie professionnelle de 40 ans ce ne sont que moins de 100 000 postes qui se libèrent chaque année.
En comparant ces chiffres avec les 60% de bacheliers annuels (soit 432000) et les 230000 nouveaux diplômés au niveau d’une licence au moins chaque année, il est évident de comprendre qu’un diplôme n’est plus la condition pour obtenir un emploi de cadre.
A titre de comparaison en 1963 5% d’une classe d’âge obtenait sa deuxième partie du bac soit moins de 50 000 bacheliers par an, avec un taux d’encadrement de 10% à l’époque le besoin annuel était supérieur au nombre de bacheliers.
TOUT bachelier avait donc vocation à devenir cadre ce qui est absurde aujourd'hui.
22/ Mixité sociale
Jusqu’en 1960 la mixité sociale était un fait historique lié à l’histoire même de nos cités depuis le haut-moyen âge.

La coexistence sociale se stratifiait par étages dans les habitations de nos villes.

23/ Les banlieues
L’apparition des nouvelles banlieues en 1960 marque un progrès considérable dans les conditions de vie des plus défavorisés ; accès à la salle de bain, aux sanitaires inclus dans le logement.
Cette époque marque également la séparation des couches sociales dans les villes qui porte en germe des difficultés prévisibles.

24/ L’encadrement des banlieues
La vie dans ces nouvelles cités est marquée par une forte présence des syndicats des prêtres ouvriers et surtout du parti communiste Les enfants sont encadrés en permanence par les patronages religieux ou les structures laïques qui éduquent remarquablement la jeunesse dans l’esprit de la république.
Les hussards de la république y sont encore très nombreux, l’exigence de leur enseignement rime avec la sévérité de leur discipline, fondement indispensable à la réussite scolaire seule garante de la réussite professionnelle.
Les garçons sont encadrés par des instituteurs très stricts sur le plan de la discipline, indispensable à l’éducation des jeunes adolescents.
Les syndicats ouvriers sont omni présents dans l’accompagnement de toutes le familles présentes. Leurs rôles sociaux sont considérables mais reposent sur la compétence et le dévouement des responsables qui sont encore très nombreux.
25/ L’évolution des banlieues depuis 1975
Avec l’évolution de flux migratoires liés au regroupement familial plus ou moins bien contrôlés, les élites ouvrières vont déserter ces zones de vie collective pour rejoindre les zones pavillonnaires et pour beaucoup accéder à l’encadrement en intégrant ainsi les classes moyennes.
Les zones de banlieues, après la fuite légitime de leurs élites la déliquescence de l’encadrement syndical et religieux vont voir s’entasser les plus pauvres des nouveaux migrants. Cette nouvelle population démunie, la moins capable à s’adapter quand elle sait encore parler notre langue sera incapable seule de s’adapter au changement et ne disposera plus en interne des aides préalables si ce n’est celles de services sociaux complètement inadaptés et surtout insuffisants.
26/ Une éducation VIRILE pour les adolescents
L’éducation des jeunes adolescents Garçons nécessite à partir de 14 ou 15 ans la présence d’hommes qui s’ils ne sont pas autoritaires doivent au moins faire preuve d’une grande autorité sans la quelle aucune éducation n’est possible.


La discipline pouvoir d’imposer l’obéissance nécessite parfois des rapports de force indispensables à l’éducation de jeunes garçons, pratique courante de nos anciens et vénérés Maîtres qualifiés d’Hussards de la République des années 50 et 60


La féminisation à outrance de l’enseignement jusqu’aux collèges ne répond pas à cette évidence et se traduit par un laxisme généralisé dont les enseignantes ne peuvent seules assumer la responsabilité.
Les conséquences sont la fuite pour ceux qui le peuvent vers l’enseignement privé et la mise sur le marché après 16 ans de près de 75000 jeunes qui ne savent pas lire


10% d’illettrés en 2005 alors que les statistiques du contingent en dénombrent seulement 2,5% en 1962
Ces mêmes élèves qui en milieu scolaire étaient complètement inadaptés trouvaient pour 98% d’entre–eux leur place au sein d’une communauté MASCULINE au cours de leur service militaire
La transition et la compréhension des règles inhérentes à leur nouveau milieu s’effectuaient en moins de 48heures ce qui peut paraître paradoxal pour des jeunes habituellement considérés comme irrécupérables.
Plusieurs parmi eux ont quitté la vie militaire comme sous-officiers et ont ainsi pu s’insérer dans la vie active à l’issue de cette expérience humaine PARTAGEE avec d’autres jeunes français issus de toutes les classes sociales du pays.
27/ Classes préparatoires et grandes écoles Françaises.
Le nombre des élèves qui intègrent des classes préparatoires est sensiblement équivalent à celui des années 1960.
Ces élèves font l’objet d’une sélection rigoureuse depuis la sixième et ils sont bien souvent les seuls.
Titulaires d’une mention au bac C ou S dans la majorité des cas ils devront fournir des efforts considérables pendant deux ou trois ans avant d’intégrer la grande école de leur choix
Leur nombre est quasiment identique depuis les années 60, leur taux de placement en entreprises est quasiment de 100% à leur sortie
Ce sont donc 30 à 40 000 postes de cadres qui sont hypothéqués chaque année sur le marché du travail
Comparativement aux 100 000 postes de cadres disponibles chaque année il ne reste que moins de 60 000 postes pour les étudiants issus des filières universitaires dont la moitié est encore accordée aux jeunes cadres placés au chômage.
Soit 230 000 titulaires d’une licence au moins qui n’accèdent pas à un emploi de cadre sans y intégrer le 400 000 bacheliers.
L’adéquation entre les besoins du marché du travail et les filières suivies n’étant jamais réalisées dans le monde universitaire où l’idée même de sélection est à proscrire.
Cette approche irresponsable et élitiste du monde universitaire conduit des dizaines de milliers de jeunes diplômés directement à l’ANPE sans aucun espoir de débouchés dans les formations reçues à court moyen ou long terme qui de fait ne correspondent pas aux réels besoins du marché du travail

28/ Formation professionnelle comme rattrapage de l’éducation nationale
L’inadaptation du milieu scolaire aux besoins réels du monde du travail a conduit ce dernier à mettre lui-même des structures de formations complémentaires de manière à former ses personnels à ses besoins
Un budget équivalent à 50% du budget de l’éducation nationale est nécessaire à cette tâche indispensable, la qualité des enseignants y est cependant bien moindre que celle de l’éducation nationale même si l’enseignement y est plus pragmatique et en phase avec les besoins réels. (Un tiers de ce budget est nécessaire à la qualification des jeunes issus du milieu scolaire Français)
29/ Taille des entreprises

La fiscalité française impose des entreprises réduites, 93% comptent moins de 10 personnes, 96% moins de 20 personnes (27 000  entreprises  sur 3 millions  comptent  plus  de 50 salariés  et  seulement 2000  plus  de 500 salariés)
30/ Le frein à l’emploi des PME
Les charges qui pèsent sur les entreprises depuis 1982 conjuguées aux rigueurs voire aux rigidités du code du travail nuisent à l’embauche au sein des PME françaises.
La viabilité d’une entreprise repose avant tout sur l’équilibre entre ses marges et ses dépenses
Comme les sociétés sont imposées à 33% de leurs bénéfices elles ont tout intérêt à maintenir un équilibre précaire en se limitant à économiser le strict nécessaire correspondant à l’amortissement des avoirs (non imposables)
De ce fait elles ne disposent d’aucune marge de manoeuvre ce qui les place en situation très précaire dès la moindre baisse de commandes.
Comme elles ne peuvent licencier leur personnel ou modifier les salaires elles sont tout naturellement conduites à déposer le bilan comme cela leur a été imposé de 1982 à 1986
Aujourd'hui celles qui ont pu survivre à cette période ne peuvent embaucher qu’avec des CDD qui correspondent aux commandes en cours ou voire de contrats intérimaires pour les mêmes raisons à savoir pouvoir se séparer des salariés dès lors que les commandes baissent.
31/ L’insuffisance de l’encadrement des PME française

Dans près de 96% des entreprises françaises (moins de 20 personnes) le Chef d’entreprise (souvent créateur) ne dispose pas de personnel d’encadrement autonome susceptible de prendre seul en charge l’une des trois fonctions principales de la société
(Fonction production, fonction commerciale, fonction gestion administrative financière et gestion du personnel)
De ce fait il partage son temps (12h00 par jour en moyenne) entre ces trois fonctions indispensables et n’en remplit aucune à plein temps.
L’injection d’un cadre ou mieux encore de deux si le marché le permet a pour résultat immédiat un doublement ou un triplement de son chiffre d’affaires en moins de douze mois avec la création de nouveaux emplois.
Si le temps s’ajoute pour le chef d’entreprise son chiffre d’affaires est la multiplication des trois fonctions principales que sont la production le commercial et la gestion administrative.
L’absence de cadre impose une limitation de l’activité des PME qui contrairement à nos voisins disposent dans les PME d’effectifs plus nombreux (40) et surtout de la présence d’au moins 3 cadres autonomes dans leurs fonctions
32/ L’insuffisance des salaires

Les salaires sont insuffisants pour vivre avec décence dans la société telle que nous la connaissons. Près de 10 millions de personnes disposent de moins de 847 euros mensuels pour vivre. Cela est inacceptable, non seulement pour les syndicats qui sont dans leur rôle légitime mais plus encore pour les dirigeants du pays MEDF inclus
33/ Economie de marché seule créatrice de richesses suffisantes

L’économie de marché est la seule capable de générer des richesses en abondance pour satisfaire les besoins légitimes de chacun.
Cette évidence partiellement acceptée par les plus pragmatiques des socialistes est encore refusée par un nombre croissant d’électeurs de la gauche française

Les anciens peuples des ex pays de l’est qui ont eu à pâtir du joug communiste pendant 60 ou 70 ans sont en ce qui les concerne beaucoup plus réalistes.
Les hommes n’étant pas égaux par nature même s’ils le sont en droit une répartition équitable doit toujours être assurées par les politiques dirigeants pour accueillir chacun à sa place au sein de la société sans pour autant l’assister, sa dignité est à ce prix.
Chacun doit pouvoir travailler et s’assumer seul, les aides doivent corriger les inégalités naturelles en veillant à donner à chacun ce qu’il est capable d’assumer, cela s’appelle la fraternité.
Personne ne doit être exclu de la communauté, cette responsabilité est l’honneur de ceux qui ont été choisis par le peuple pour les diriger.
34/ L’accompagnement social

Les dépenses liées aux différentes politiques d’aide à l’emploi représentent près de 53,6 milliards d’euros soit le deuxième poste budgétaire de l’état.
Cette somme répartie aux 4 millions de sans emplois inscrits à l’ANPE représenterait 13400€ par an soit : 1100 euros mensuels


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