
"Nous devons tout faire pour éviter que les victimes de la crise ne deviennent des exclus que nous ne pourrions plus réinsérer dans l'économie et dans la société. L'exclusion, c'est sans doute ce que la crise peut engendrer de plus grave", a ajouté Nicolas Sarkozy. "La crise est aussi un puissant révélateur de nos défaillances et de nos faiblesses et faire le dos rond en attendant que ça passe serait une erreur", a-t-il jugé estimant que "nous avons laissé faire la part trop belle au capital financier".
"Considérer la crise comme une parenthèse bientôt refermée, comme si on allait pouvoir se comporter comme avant serait une erreur fatale", a également dit le chef de l'Etat. Pour autant, il a affirmé qu'il ne