Un article de presse pouvait laisser croire que l'entrée de la CASE dans le conseil d'administration du CAUE entraînerait une nouvelle taxe sur la construction de logements neufs. Certains citant le chiffre de 1000 euros de plus pour la construction d'un pavillon. 1 000 euros, c'est beaucoup, le prix d'une armoire électrique, mais étalé sur vingt ou vingt cinq ans...
Or, il n'en est rien. Le CAUE est financé par une taxe, certes, mais mise en place depuis belle lurette au niveau départemental et acquittée pour chaque construction neuve. Cette taxe affectée au financement du CAUE est en vigueur depuis plusieurs années sur notre territoire. L'entrée de la CASE dans le CAUE ne coûtera rien de plus aux ménages qui font bâtir.
Par ailleurs, dans le même article, la constitution d'un groupe de travail sur l'agencement du futur siège de la CASE ne porte pas sur le lieu d'implantation de ce siège, mais sur la disposition interne du bâtiment. L'implantation se fera selon l'orientation validée par le bureau communautaire qui s'est tenu une semaine avant le conseil.