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Les escales germanopratines de Sylvie de Lattre, propriétaire de l’hôtel Verneuil

Publié le 17 juillet 2009 par Topika

Heureuse habitante de Saint Germain des Prés, Sylvie de Lattre en connaît les rues, les histoires et les couleurs. Du haut de son QG de l’hôtel Verneuil, elle explore sans relâche un quartier qui n’a pour elle aucun secret et prend pour nous le pouls de Saint Germain et de ses repères à la mode.

Tout commence le matin, à l’ombre des feuillages du jardin du Luxembourg, où les joggers semblent tellement heureux. Cette visite matinale est une immersion en douceur dans l’atmosphère chic et vibrante de Saint Germain des Prés, avant de rejoindre le pittoresque marché de la rue Buci où le fameux café-croissant parisien revêt un charme et une saveur particuliers. Rue Buci toujours, le bric-à-brac de la droguerie Thanner est une véritable mine d’or d’où jaillissent des idées cadeaux originales et inattendues.

Les escales germanopratines de Sylvie de Lattre, propriétaire de l’hôtel Verneuil

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Les escales germanopratines de Sylvie de Lattre, propriétaire de l’hôtel Verneuil
Les escales germanopratines de Sylvie de Lattre, propriétaire de l’hôtel Verneuil

Autre rue, autre atmosphère, dans la quiétude et l’intimité de la rue du Pré aux Clercs. Cette rue est le passage obligé des experts de la mode qui viennent prendre ici la température des nouvelles tendances. Quatre adresses dans le pur style germanopratin: Irié pour sa mode contemporaine juste comme il faut, Calypso pour l’esprit gypsy chic de la nouvelle collection, Accessoire Diffusion pour le savoir faire d’un grand bottier, et Laurence Tavernier la nouvelle prêtresse de la lingerie de nuit française.

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A l’heure du thé, ne manquez pas le rendez-vous avec le Saint-Germain gourmand! La maison Debeauve et Gallais, rue des Saints Pères, promet un grand moment de plaisir aux amateurs de chocolat. Pour ceux qui préfèrent les macarons, direction rue Bonaparte, à deux pas de l’église de Saint Germain des Prés. Dans le petit salon bleu de Ladurée, vous goûterez à la perfection sucrée jamais démentie de cette illustre maison.

Côté gastronomie, voici quelques adresses pour déjeuner ou dîner en ville sans en avoir l’air! A commencer par le restaurant 35° Ouest qui vous emmène au large. Une adresse feutrée et chic située rue de Verneuil, où le capitaine Pascal Yar se bat contre vents et marées en cuisine pour nous régaler des secrets de la mer à l’image de son assiette de langoustines «comme sur le port de Bretagne»…

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Dans un registre très «rive gauche», le style rétro loft du restaurant le Cinq Mars ressuscite avec convivialité les parfums et la nostalgie d’antan. Terrine de campagne, purée maison, pot au feu (uniquement en hiver) sont servis comme chez «mère grand» et l’on se passe joyeusement les plats.

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Dans une tonalité plus intime, le Bistrot de l’université séduit par sa cuisine traditionnelle et ses valeurs sûres. Une petite cantine locale, où il est bon de déguster un savoureux «steak-frite» dans un décor qui exalte encore les charmes rustiques du temps passé.

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Pour dîner aux couleurs de l’Italie, rejoindre sans hésiter le petit bastion culinaire d’une famille sarde situé rue Perronet. Au restaurant le Perron, le voisinage heureux ne tarit pas de s’y retrouver pour apprécier le raffinement des spécialités proposées.

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Une ultime adresse à Saint Germain des Prés? Chez Barthélémy, merveilleux fromager à l’ancienne qui propose des trésors de goûts. L’ambiance est plutôt joviale dans cette maison familiale et la bonhomie du propriétaire est contagieuse. Tout comme le quartier.

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